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| « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon | |
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Alekseï A. Romanov
Nombre de messages : 21 Age : 29 Date d'inscription : 20/04/2009
La pensine année d'étude: 7eme animal: Aucun :) notes:
| Sujet: « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon Mar 21 Avr - 0:29 | |
| & Alekseï A. Romanov & Absalon N. Petroïski
« L'homme est incapable de choix et il agit toujours cédant à la tentation la plus forte. »
- André Gide
Ô curiosité, quand tu nous tiens. Ce défaut que temps de personnes découvrent au fil des années. Malgré ses mauvaix côtés, ce sentiment, qui nous tiens, nous conduit tout d'abord à le défier; à vouloir lui résister. Se dire que nous pouvons commander nos actes, c'est ce qui fait l'homme : la volonté. Mais ne dîtons pas : le seul moyen de résister à la tentation, c'est dy céder ? Nous pourrons donc constater que la jeune demoiselle qu'est Alekseï n'échappe pas à cette dûre lois.
Assise, sur sa chaise de bois, les jambes croisées, la demoiselle tenait un livre entre ses mains. Différent de ce cher livre, que la jeune fille ne cesse de relire: Orgeuil&Préjugés, cette fois-ci, ce fut le tour d'Autant en emporte le vent. Livre connu de tous, ou du moins la comédie musicale, si célèbre. Ayant vu auparavant la comédie, elle se décida ( enfin ) à commencer le livre. La demoiselle russe était habillée simplement d'une robe blanche, qui lui arrivait jusqu'aux genoux et qui lui allait à ravîr, faisant ressortir son teint pâle, qu'elle appréciait énormément. Elle avait au pieds, de simples sandales aux talons d'une hauteur accomodante, soit dans les 5 centimètres. Celles-ci étaient quant à elles, d'un noir de jais. Une coiffure des plus complexes ornait le tout, un chignon. Certes, beaucoup savent le faire, mais est-ce si facil que ce que l'on croit ? A vrai dire, pas vraiment. Serait-ce même le contraire. Une simple veste pouvait la réchauffer, une veste noir aussi, et très simple. N'oubliant jamais ses origines, elle s'habillait souvent comme les demoiselles de son pays natal, du moins ce fut ce genre d'habits, qu'elles portaient durant l'été. Parce que croyez-moi, l'hiver, il serait préférable d'être recouvert de gilets ainsi que de pulls. C'est qui la différenciait des autres jeunes filles de l'école.
Regardant au dessus de son livre, elle remarqua que personne ne s'était installé en face d'elle. Ce qui l'arrangeait. Car tomber, sur des adolescents boutonneux gâcheraient la vue qu'elle avait sur le cordon, qui la séparait de la Réserve interdite. Son esprit commença à sortir du contexte de son roman, et la brunette commença à s'imaginer les nombreux livres cacher derrière ce cordon et cette porte de bois. Il paraîtrait que ces livres seraient sur la magie noire, que ce serait dangereux qu'ils tombent entres de mauvaises mains. Elle s'imaginait les prendre, puis les lire. Elle saurait tellement de choses après..
La tentation vînt alors la chercher, en compagnie de la curiosité. Pourquoi ne pas y entrer après tout ? Elle n'était pas méchante, et très respectueuse des livres. Mais non, c'est mal, très mal. Surtout que si c'est interdit, ce n'est pas pour rien. Et rien que le fait que ce soit interdit d'y pénétrer l'excitait au plus profond de son âme. Elle ne savait plus quoi inventer pour se persuader qu'il ne fallait pas désobéir à la règle. Se sentant en danger, elle se leva en vitesse, recula sa chaise et la remis en place. Se retournant, elle vit que les seules personnes présentes étaient assises au fond de la salle. La tension montait en elle. Des idées très interessantes lui venaient à l'esprit. Elle préféra se cacher, dans les rayons de la bibliothèque avant de céder à la tentation. Elle remit en place sont bouquin puis revint sur ses pas. Il ne restait plus qu'elle et le bibliothéquaire.
Tout se passa si vite. Elle avait cédée. Son esprit n'avait pas pu résister plus longtemps. La curiosité avait pris le deçu. Elle décrocha le cordon, passa et le remit. Elle tourna la poignée de la porte; miracle celle-ci n'était pas fermé à clés. C'était imprudent, des gens malveillants auraient pu y pénétrer.. Elle ouvrit et vit. Elle vit ce qu'elle imaginait. Exactement cela. Elle referma la porte, ouvrit la lumière. Elle était au milieu de centaines de livres. Elle en prit un au hasard, s'adossa contre une étagère et commença sa lecture. Des palpitations au coeur, un sourir fendit ses lèvres. | |
| | | Absalon N. Petroïski
Nombre de messages : 80 Age : 37 pseudo : Côme ! © avatar : Gaspard (L) , par Maxine Stevens Date d'inscription : 20/04/2009
La pensine année d'étude: 7ème animal: il n'en a pas . notes:
| Sujet: Re: « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon Sam 25 Avr - 22:37 | |
| La fenêtre entrouverte ce soir-là , laissait apparaître sur le lit bleu et argent du jeune homme les rayons de lune qui avec cette lumière aidait le garçon à dévorer un nouveau livre : Anna Karénine , de Tolstoï . Un des plus beaux romans d’amour russe , avec le défaut d’être triste . En l’occurrence , ce jeune homme , c’était moi . Mais ce livre m’ennuyait , j’en avais assez de toutes ces histoires moldues . Mais tous les livres magiques pouvant m’intéresser un minimum était dans la réserve interdite . La question suivante se posait : Devais-je m’y rendre ? Mais après tout , on disait bien : la culture avant tout . Oui oui je devais m’y rendre . Je ne m’étais pas fait prendre l’année précédente , il n’y a pas de raisons que cette année , si . Surtout que mon habilité avait sûrement quadruplé . La décision était donc prise . J’irais ce soir .
Maintenant une autre question flottait dans mon esprit : qu’allais-je prendre ? La plupart des livres de cet endroit étaient à propos de magie noire . Mais qu’importe j’avais envie de lire plus . J’irais . Je trouverais bien là-bas . Peut-être choisirai-je un livre machiavélique enfin de compte . La surprise . Attendons .
Je me levais , en attrapant au passage ma robe de sorcier surlaquelle était cousu l’écusson de la maison Serdaigle , j’attrapais aussi une bougie et guettais mes colocataires de chambres . Ils dormaient tous comme des loirs , et tant mieux . Bêtes comme ils étaient ils auraient pu par inadvertance commettre une erreur .
Peut-être en ce moment j’avais besoin de tester mes limites , faire de nouvelles choses , tenter de nouvelles expériences … Malgré le fait que se rendre à la Réserve Interdite le soir , ne soit pas réellement récente . Je préférais ne pas y songer . Une fois dans les couleurs le chemin fut court et rapide , et j’arrivais en moins de dix minutes devant la porte . Cette grande porte en bois , avec un petit verrou rouillé qui me faisait obstacle , mais c’était peu dire , il me suffisait d’un sort pour passer à travers , un petit sort de troisième année que je maîtrisais depuis bien longtemps . Ce fut un jeu d’enfant .
Entrant sans faire de bruit , je remarquais une faible lumière accompagnée d’une silhouette féminine . Je ris psychologiquement , je ne connaissais qu’une personne assez folle pour faire cela : Alekseï Romanov . M’approchant délicatement de la jeune demoiselle , je perçus ses cheveux ébouriffés tomber sur sa longue robe de sorcière noire ornée des écussons or et jaune . Elle avait toujours été d’une grande beauté , digne des plus beaux romans d’amour . Son élégance naturelle n’était que la cerise sur le gâteau . Elle avait le caractère digne d’une reine , et la beauté d’une déesse . Nombreux garçons avaient tenté de la séduire , elle n’avait succombé qu’à très peu d’entre eux .
Je me trouvais désormais à l’allée parallèle à la sienne . Je m’emparais de quelques livres futiles pour apercevoir sa chevelure ondulée . Posant les imprimés sur le rebord de la bibliothèque j’entamais la discussion d’une manière peu courtoise .
ABSALON – Eh bien , je te savais cultivée , mais pas folle au point de risquer la punition pour venir à la réserve .
Peut-être étais-je mal à l’aise en sa compagnie parce qu’elle me ressemblait en plusieurs points . Ou peut-être étais-je un idiot , aussi . Mais il est certain que je l’appréciais malgré ce que je pouvais faire concevoir . | |
| | | Alekseï A. Romanov
Nombre de messages : 21 Age : 29 Date d'inscription : 20/04/2009
La pensine année d'étude: 7eme animal: Aucun :) notes:
| Sujet: Re: « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon Mer 29 Avr - 21:56 | |
| Après quelques minutes de lecture, adossée contre une partie de la bilbiothèque, ses jambes commencèrent à flancher. Ne faisant que peu de sport, elle n'avait pas énormément de muscle. Malgré ce fait, sa silhouette restait fine, et peu de gras osait s'avanturer dans son corps, et heureusement pour elle. Prenant soin de ne pas abîmer le livre, elle placa à sa page une petite barette qui était dans son chignon et qui l'aidait à le faire tenir. L'enlevant, sa longue chevelure tomba en cascade sur sa robe.
Toujours adossée, elle se laissa glisser vers le sol, le livre entre ses mains. Elle était absorbée par ce livre, tellement interessant, du moins à son gout. Enfin assise, elle plia ses genoux de façon à les garder collés ensemble. Et vous savez pourquoi, ce n'était pas très classe sinon. Elle le réouvrit et plaçant son marque-page barrette dans sa poche, elle continua sa lecture. Beaucoup de mots lui traversèrent l'esprit, différents à chaque fois. Ce livre offrait tellement de vocabulaire, d'informations sur la magie noire, que rien que d'en lire une page était interessant. Même excitant.
Rester dans cette pièce, où seule une petit lumière qui vacillait éclairait le lieu. Où personne n'osait pénétrer, parce que c'était interdit. Rien de tel pour se divertir. Elle arborait un immense sourire, qui prouvait sa bonne humeur. Tournant délicatement la page de son " roman " , elle entendit la pognée tourner..
La jeune brunette se releva d'un coup. Lachant le livre, sous le coup de l'émotion. Les yeux grands ouvert, elle vit entrer, avec un grand sourire un garçon. Qui n'était autre qu'Absalon. Celui-là alors. Toujours le bon moment pour déranger la jeune Alekseï. Le livre, était toujours au sol et la demoiselle restait comme collée contre l'étagère. Les mains crispées.
Puis se relaxant quelques peu, elle se détendit et tapota sa chevelure, qui s'était ébourrifée durant sa panique. On peut avouer que la demoiselle était vraiment unique et étrange. Soupirant, elle regarda Absalon, qui pris un livre, qui fut près d'elle et se placa en face de celle-ci. Etonnée par son entrée fulgurante, Alekseï le regardait toujours.
Reprenant quelque peu ses esprits, elle se baissa pour reprendre son livre et le déposusiera. Il fallait bien avouer, que le sol n'était pas très propre. Entendant la remarque pertinente du jeune homme, elle releva un regard noire envers son interlocuteur.
ALEKSEÏ - Je pourrais en dire de même pour toi. Pourquoi es-tu là ? Tu ne devrais pas être en train de batifoler avec une autre jeune fille ? | |
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| Sujet: Re: « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon | |
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| | | | « La seule manière de protéger sa culture, c'est d'accepter de la mettre en danger. - pv absalon | |
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