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| r-evolve ; | |
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| Sujet: Re: r-evolve ; Jeu 1 Jan - 17:04 | |
| it sounds to be a dream... innit ?
it's a dawn of my own story. ____________
nom ; « venceslao, ça vient de mon père. C'est un nom de famille espagnol, qui pourtant, ne l'est pas selon mes origines. Je ne suis pas espagnol. Je suis italien. Mon père l'était. Je me souviens de chacune de ses histoires qu'il me contait quand j'étais minot... la sicile... notre sainte patrie... quoiqu'il en soit, venceslao, ça veut dire : gloire immense. » prénoms ; « lawrence signifie : être couronné de lauriers. c'est un prénom que son père lui donna car il est le résultat de sa joie tant espérer. il faut croire que son père avait énormément du mal à avoir un héritier mâle. ensuite, enzo signifie : « maître de maison » ; étant le seul homme de la famille, de la nouvelle génération, son père a, semble t il, aimé joué sur cela, en lui choisissant ses prénoms. ce qu'il est réellement amené à faire. » surnoms ; « on l'appel souvent par son deuxième prénom ; enzo. Il aime particulièrement ce prénom car c'est son père qui lui a donné. Un prénom qu'il a en commun avec ce dernier qu'il aime comme un dieu. Sinon, c'est law'. Mais c'est bien moins utilisé. C'est surtout employé dans sa famille maternelle. Ils sont anti-rital, donc, l'appelait enzo, c'est carrément impossible. » ascendance ; « il est de sang pur. » nationalité ; « il est de nationalité anglo-italienne. Il est né en sicile, lorsque son père et sa mère se sont enfui pour éviter les emmerdements causés par la famille de la mère du petit. Il est né à Palerme. »
Dernière édition par Lawrence E. Venceslao le Jeu 1 Jan - 23:16, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: r-evolve ; Jeu 1 Jan - 17:54 | |
| i wanna be like him. it's my only star.
my model calls like you, father. ___________ maison pressentie ; « poufsouffle ou serpentard. Lawrence est de nature très sombre, mais possède de nombreuses qualités de ces deux maisons. C'est un être assez sombre mais qui a un respect assez prononcer pour chaque chose. C'est quelqu'un d'extrêmement ambitieux et de catégoriquement vindicatif si on lui plaît pas. Cependant, il est d'une patience et d'une loyauté à presque, toutes épreuves. C'est un jeune homme d'une violence rare, et d'assez extrémiste dans sa façon d'être. »année d'étude ; « en septième année à poudlard, Lawrence est quelqu'un d'assez connu pour ses nombreuses bagarres dont il est souvent la source de tant de désagrément. Il n'aime pas les regards de travers, ni que l'on regarde sa petite soeur ou ses ami(e)s de travers. Il n'est pas tête brûlé, non... il est juste vindicatif et peut être jaloux. »baguette magique ; « la baguette magique... c'est celle de son père. Pourtant, il n'est pas décédé ou quoique ce soit... mais lawrence, à sa venue à poudlard, avait besoin d'un repère, de quelque chose qui lui rappel sans cesse l'être protecteur et tant aimé qu'est son père. Elle est d'un beau noir, faites en olivier de sicile. Bien entendu, c'est l'ingrédient en son sein qui a donné une telle couleur à la baguette. Très bien entretenu, le bois renferme une magnifique plume de phœnix des limbes. Un phœnix provenant du sud de la grèce antique. Elle devrait mesurer dans les... 22 centimètres, peut être... »animal ; « aucun. Il se sert des chouettes de l'école pour faire parvenir de quoi, à son cher père. » |
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| Sujet: Re: r-evolve ; Jeu 1 Jan - 18:28 | |
| i don't like this part. i'm not a weak-willed person.
for you, i'll be more stronger. ___________
épouvantard ; « il a la forme de son père portant sa soeur, décédée, dans ses bras. Il en a horriblement peur de cela... le regard meurtrier de son père, une haine incommensurable, plongé sur son fils, sur lawrence lui même. C'est sa plus grande peur, son plus grand démon. Ne pas réussir à protéger sa soeur, et s'attirer les foudres de son noble père. À chacun son patronus... mais le sien, n'est pas qu'à l'état de patronus car il lui arrive souvent d'en cauchemarder. » miroir du rised ; « il ne sait pas encore réellement ce qu'il veut au plus profond de son être. Pour le moment, c'est surtout être le digne fils de son père. Il adorerait entendre ce dernier lui dire ' je t'aime ' mais comment le montrer à l'aide d'un miroir ? Lawrence est assez bizarre. Mais c'est ainsi qu'il est. » patronus ; « son patronus a la forme d'un aigle. D'un grand aigle. Comme le symbole de l'italie sous son dictateur dans les années d'avant second guerre mondial. Peut être cela signifie quelque chose... peut être cela a un rapport avec son caractère particulier... en tout cas, c'est cette forme ci qui s'échappe de sa baguette lorsqu'il prononce l'incantation pour. » phobie ; « il n'a pas tellement de phobies... ceux sont plus des peurs qu'il a, et qu'il n'arrive pas à s'en détacher. D'où le fait qu'il soit ainsi et pas autrement. Depuis tout petit, il prend sur lui pour être fort, et il n'a jamais flanché. Il s'est fixé un idéal, et il l'attendra quoiqu'il arrive. »
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| Sujet: Re: r-evolve ; Jeu 1 Jan - 20:05 | |
| i don't want your mercy. keep it in your ass. thanks.
some memories... ___________ * ** « Chérie, prend les enfants, et casse toi ! »« Non ! Ils sont là pour moi ! Pas pour vous ! »« Arrête tes conneries ! Ton père nous les envoie pour nous abattre ! Sauve les gamins, je vais les retenir ! »« Que si tu viens avec nous ! »« Aaaaaah ! Putain de ta race ! Donne moi ça, que je bloque la porte ! »elle lui envoya la baguette qu'il attrapa d'un revers de main. Puis, comme pour continuer le mouvement de réception, il la pointa directement sur la porte d'entrée qui tremblait sous les coups et il incanta : « colaporta ! Protego totalum ! » les incantations jaillissaient aussi vite de sa bouche, que les enchantements, de la baguette magique. C'était la première fois que lawrence voyait son père dans un tel état d'inquiétude et de panique. Sa soeur, derrière lui, lui serrait le bras gauche. Instinctivement, il se recula quelque peu, la collant de son dos sur cette dernière qui s'aggripa à lui. Leur mère se retourna vers eux, et courut vers ses derniers comme pour les prendre dans ses bras. Au même moment, on entendit : « confrigo ! » une incantation qui provenait de l'extérieur. « l'enculé ! » gueula Milo. Aussitôt, il se jeta sur Natalia qui tomba sur ses enfants. Une explosion retentit juste derrière le père des enfants, arrachant les murs par la même occasion. Un nuage de poussière se leva dans les airs, tandis que les pleures d'alessandra se faisait entendre. Milo se releva doucement, reprenant sa baguette, puis au moment où il s'apprêtait à aller se battre, Natalia, qui s'était levée en même temps, lui fourra alessandra dans les bras. Elle le contourna, sortant sa baguette magique à son tour. « NOOON ! NATALIA ! »« Milo, tais toi, et fuis. »« Papa... qu'est ce que maman fait... ? » demanda Lawrence doucement, la main à la hauteur de ses lèvres. « Natalia, je t'en supplie. »A ce moment là, elle se retourna, mais ce fut la chose qu'elle n'aurait pas du faire. Car à ce moment là, les hommes entrèrent, et elle tomba au sol. Aussitôt, Milo poussa un cri de rage avant de saisir son fils par la main. Ils transplanèrent. * ** « écoutes, milo... Tu sais bien que... » commença Ambrosio. « NON ! TOI, TU M'ECOUTES ! PRENDS LES GAMINS, JE VEUX LA RETROUVER ! »« Elle est sûrement... »la main de Milo se leva pour gifler la joue de son frère. Une haine violente dans le regard. Autours de Milo, on avait cette impression étrange de ressentir un aura dur, noir, maléfique. La haine semblait dominer son corps, et visiblement, les évènements ne se passaient pas comme il l'avait prévu. Il avait omis le fait que Natalia était une jeune femme pour le moins têtue, et très fière. « Tu refais ça, Milo...et je te jure que... »« Ca suffit. Milo, tu restes là, tes enfants ont besoin de toi. » la voix s'était levée du coin de la pièce. À l'encadrement de la porte. Lawrence regardait son grand père rentrait dans la pièce, les mains dans les poches, la mine grave. Il en jetait énormément son grand père. Et à chaque fois qu'il entrait dans la même pièce, lawrence baissait automatiquement les yeux. Ici, il baissa les yeux sur sa soeur qui dormait doucement, la tête posée sur ses genoux. Il leva délicatement sa main pour lui caresser tendrement les cheveux, tandis que Milo tournait violemment la tête vers son père. « PERSONNE NE SE SOUCIE DONC, DE NATALIA, C'EST CA ? » « Arrête de dire des sottises. Tu as besoin de dormir, et de te reposer. » tenta de reprendre Ambrosio, l'air de rien, se massant doucement la joue. « Crois tu donc, fils, que je sois un homme si con, pour ne pas avoir penser à cela ? Sachant que c'est la personne qui compte le plus au cœur de mon fils cadet, et la mère de deux de mes petits enfants ? »lawrence releva la tête, tandis que Milo baissait le regard, tombant à genoux, se mettant à pleurer. Ambrosio fourra sa main dans les cheveux de son frère cadet, puis, il se retira doucement après avoir baiser le front de son neveu. Le grand père sortit doucement de la chambre, tandis qu'Ambrosio murmurait doucement à lawrence. « Veille sur ton père et ta soeur, enzo. Ils ont besoin de ta force, tu as compris ? »« Oui, tonton. »« bene. »et il se retira. Milo se releva doucement, puis, il vint s'asseoir près de son fils. Machinalement, il lui passa un bras autours du cou, et il l'attira contre lui, les larmes coulant le long de ses joues pour les perdre sur celle de son fils. Lawrence posa sa main sur la cuisse de son père, lui caressant délicatement cette dernière, lui montrant ainsi, que lui, il était là et qu'il pouvait compter sur lui. |
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| Sujet: Re: r-evolve ; Ven 2 Jan - 9:32 | |
| [...] « Papa ? Papa ? »« Oui... ? »« Enzo dit que la papa noël, il existe pas. »« Ah bon ? Et pourquoi il a dit ça ? »« Il a dit ça, parce qu'il dit qu'il ne lui a jamais apporté ce qu'il désire tant. »« Et toi... Tu y crois, ma douce ? »« Oui, j'y crois papa. Car quand tu me regardes, tu souris ! »Pour toute réponse, et surtout sous le coup de l'émotion, milo saisit sa fille pour la prendre dans ses bras. Enfin, il la posa doucement sur son lit, avant de se lever pour lui baiser le front. « Bonne nuit, ma puce. Et rêve bien de ce que la papa noël va t'apporter demain, d'accord ? »« Oui, papa. »et il éteignit la lumière de la table de chevet de sa petite cadette, avant de se retirer doucement. Fermant la porte derrière lui, il se dirigea directement vers la chambre de son fils aîné, qui attendait, comme chaque soir, que son père est fini de border sa soeur pour qu'il ne vienne le border à son tour. Et lorsque milo entra, lawrence leva le regard, automatiquement, vers son père. « Pourquoi t'es pas en pyjama ? » demanda son père, le ton de la voix se durcissant quelque peu. « J'attends. »« Tu attends quoi ? » continua son père, s'avançant vers son fils, pour s'assoeir à côté de lui, sur son lit, après avoir retirer deux ou trois jouets et peluches qu'il envoya paître un peu plus loin. « J'attends pour voir si le père noël existe vraiment ou si ce n'est pas un mythe. »un silence s'installa. Enfin, milo commença à déboutonner la chemise de son fils avec délicatesse. Ce n'est qu'après lui avoir retirer la chemise, et les chaussures, que finalement, milo reprit doucement, rompant le silence dans lequel, les deux hommes, bien que l'un soit encore très jeune, s'étaient installés. « Ta soeur m'a raconté... pour le père noël... »« Il ne viendra pas. Il existe pas. »« Pourquoi, mon fils ? » demanda Milo, se rapprochant de son fils. « Parce qu'il ne m'apporte jamais ce que je veux. »« Et qu'est ce que tu veux ? »« Ma lettre est là, regarde. »Milo tourna la tête dans la direction donnée par son fils aîné. Il eut un léger sourire, mais rempli d'inquiétude. Dans son ventre, il y avait une boule, une pierre, il avait mal au coeur, tellement son stress venait d'augmenter. Il ne comprenait pas réellement pourquoi... après tout, il avait déjà fait pire que ça... et là... le parchemin dans sa main, il décacheta doucement la cire, relevant un regard sur son fils, tandis que ce dernier se grattait le torse, comme lui même le faisait si souvent de façon inconsciente. Milo reposa son regard sur le parchemin, et il y lut. Cher père noël, ( si tu existes vraiment )
ce noël ci, comme tous les noëls qui arrivent depuis que maman n'est plus là, je voudrais en cadeau, la revoir. Je voudrais que mon papa soit heureux, et qu'il arrête de sourire juste pour faire plaisir à alessandra. Je voudrais aussi revoir ma maman juste pour avoir un bizou d'elle chaque soir. Mais je sais que ça n'arrivera pas, car tu ne sais que donner des cadeaux et pas réellement ce que je veux. Tu ne l'as jamais fait, et même avant que maman parte. Le soir où on rentrera de la messe du petit jésus, je viendrais, et je veillerais au près du sapin pour t'attendre. Mais je sais que tu ne viendras pas. Et je commence à croire Azzo, Carmelo et Dante, mes cousins. Tu n'es qu'un mythe. Tu es là pour nous faire rêver alors que chaque jour, un gens de ma famille meurt, et tout. Tu es un menteur, et je ne sais pas pourquoi je t'écris ce que je veux en faites. Peut être pour mon papa qui croit que ça me fait plaisir... tanpis. En tout cas, si tu existes vraiment, et bien, sait que je te déteste ! Et que comme mon papa et mon grand père et mes oncles, je n'aime pas le mensonge.
Enzo. Milo laissa tomber le parchemin à ses pieds. Il releva le regard vers son fils qui se jeta dans ses bras, en disant, d'une voix très aîgu, comme si il avait peur. « Ne me tape pas, ne me tape pas ! Je voulais pas... »« Chuuut.... chuut... » fit Milo, serrant ses bras sur son fils. « Calme toi. Ça sert à rien. De toute façon, tu as raison. »« Je le savais... » et il se mit à pleurer doucement dans l'épaule de son père qui s'assit sur son lit. Dix minutes plus tard, Lawrence s'endormait dans ses bras, puis ce fut le tour de Milo de s'endormir. * les tournures de phrases dans la lettre sont voulus. j'ai essayé de faire " gamin de dix ans ". |
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| Sujet: Re: r-evolve ; Sam 3 Jan - 15:31 | |
| [...] « Mais que vois je... ne serait ce pas le fils de ce connard de milo... ? »l'homme avait une sale gueule. Aussitôt, lawrence leva le regard, un regard noir et profond. Toute l'arrogance et la fierté d'un venceslao concentrait dans sa petite personne. Il devait avoir à peine onze ans... il allait tout juste entrer à l'école de poudlard. Mais son regard, et sa façon de se tenir lui en donner peut être cinq de plus. Pas tant par sa taille... Mais parce ce que le garçon semblait dégager. Sa petite main chercha la main de sa petite soeur qu'il saisit avec tendresse, mais assurance. Au fond de lui, il venait de se jurer qu'il ne la laisserait pas tomber, quoiqu'il arrivait. Un autre apparut derrière le premier. Le premier était vêtu d'un de ses longs manteaux que l'on revêtait souvent par dessus un costard, d'une couleur olive, avec un sale regard. Le deuxième, quant à lui, avait un costard typé italien, d'un noir chaotique, un regard pour le moins impressionnant. C'était un bel homme mais qui semblait pour le moins... mauvais. Aussitôt, il prit la parole. « Pas les enfants, Zaza... pas les enfants... tu connais les règles... non ? » Lawrence posa son regard sur celui qui venait de parler. Et à ce moment là, il sut... il le reconnut directement. Mais visiblement, il y avait quelque chose de plus profond derrière ce type. Alessandra lui tapota l'épaule, et il acquiesça d'un signe de tête. Leur oncle était là. Mais visiblement... aujourd'hui, il était dans la peau du méchant... méchant. Le dénommé Zaza répondit : « Ta gueule... Alberto. Reste avec tes principes de vieux à la con, et m'fait pas chier. Ambrosini a dit : ' montre à ce connard de Milo qu'on ne peut pas prendre la famille Miccello pour des cons. ' il ne m'a pas dit comment... j'ai carte blanche... »« Tu sais ce qui arrivera, si tu fais ça... tu le sais ça... ça va foutre un bordel monstre entre les familles... et même en sicile, on ne voudra plus de toi... »« Il suffira juste que tu tiennes ta langue, Alberto... »« Connard. »Enzo reposa son regard sur son oncle lorsque Zaza reporta son regard sur lui même et sa soeur. Ambrosio ne put s'empêcher de fermer les yeux. Il sortit doucement sa baguette, mais Enzo eut une idée. Le petit était surnommé : il volpe. Ce n'était pas pour rien. Il comprenait plus de choses qu'il ne le fallait. Et déjà, son grand père voyait en lui, le potentiel héritier de la famille Venceslao. Ambrosio sembla voir la petite lueur loquace dans les yeux de son neveu, car il baissa doucement la baguette. Alessandra, quant à elle, au fur et à mesure que Zaza s'approchait, se serrait contre son frère. « Alors ? C'est toi, il bambino... hein ? Qu'est ce que tu as de si particulier... pour être le petit le plus protéger de cette famille... Montre moi... »Pour toute réponse, Enzo cracha. Et il ajouta avec une arrogance certaine dans un italien sûr. Ambrosio en écarquilla les yeux de la surprise tandis que Zaza le regardait comme si il venait de prendre un saut d'eau, ne s'imaginant pas, peut être qu'un gamin de onze ans aurait eut l'audace de lui cracher dessus. « Sono il figlio di milo. che cosa credono? non si può uccidere me. perché sei una grande merda. »L'instant d'après, une gifle s'abattait sur sa joue. Une gifle d'une force si intense qu'il crut que sa tête allait se dévisser de son corps. Le choc l'envoya valser à quelques pas de là, où il tomba au sol, sans pleurer une seule larme. Ses yeux lui picottaient sévères ses pupilles, mais il ne disait rien, et ne bronchait pas. Sa soeur pleurait suffisamment de peur et de douleur pour les deux. Il ne releva pas la tête. Il n'en avait pas besoin. Il savait que le Zaza s'approchait de lui, car ses chaussures tapotaient le sol, comme si il marchait avec une certaine lenteur calculée, comme pour en ajouter à sa mafiosi. Connard, pensa Lawrence. « Alors comme ça, je suis une merde... hein ? Et je ne peux pas te tuer... hein ? MAIS TU ES QUI POUR ME PARLER COMME CA ! JE SUIS ZAZA ! ON NE PARLE PAS COMME CA A ZAZA ! » et ZBAM ! Il se prit un coup de pieds dans les côtes. Enzo ne put s'empêcher de geindre sous l'effet de la douleur. Et encore un. Puis deux, et trois. Il se sentit lever du sol, par le col de sa petite chemise et il vit le visage de Zaza, visiblement défait par la haine qu'il semblait avoir pour le gamin. « perché vuoi uccidermi ? »« perché tuo padre, tuo nonno e deve essere carino con noi. »Enzo éclata de rire. Zaza l'envoya d'un coup de poing au sol. Ambrosio ne savait pas quoi faire. Il ne devait pas griller sa couverture, quoiqu'il arrivait. C'était les ordres de son père. Il se passa une serviette sur son front atndis qu'il voyait Zaza s'approchait de sa nièce. Là, il dégluttit. Cette dernière se mit à courir autours de la table. Enzo releva la tête. Il avait un oeil si enflé, qu'on avait l'impression qu'il n'en avait plus qu'un seul. Il était profondément marqué par la marque violacé, mais la fierté, et surtout l'honneur de son père qu'il portait sur ses petites épaules étaient mise en jeu. Bizarrement, il n'en voulait pas à son oncle de ne pas bouger. Zaza sortit sa baguette et la pointa sur Alessandra. A ce moment là, peut être par la peur intense ou le désir de protéger sa soeur contre tout, alors que son oncle se tournait pour ne pas voir ça, Enzo hurla dieu sait quoi. Au début, cela n'eut aucun effet, si ce n'est faire tourner la tête de Zaza vers lui, qui murmura doucement : « di nuovo ? Qual è il possibile ? »Puis, ce fut comme si on insoufflait de l'air sous la peau de la joue de Zaza. Cette dernière gonfla comme un ballon, provoquant la terreur chez Alessandra, et Zaza, mais aussi la surprise chez Enzo. D'un coup, on entendit comme un éclatement de ballon, et un hurlement s'en suivit. La joue de Zaza venait d'exploser lui arrachant toute une moitié de peau de son visage. À ce moment là, Ambrosio sut qu'il devait prendre parti. Il pointa sa baguette sur Zaza, et incanta fortement : « AVADA KEDAVRA ! »un puissant jet vert sortit de sa baguette pour ne disparaître qu'une fois le corps de Zaza au sol. Un long silence parut, et Ambrosio retira son chapeau, s'approchant d'Alessandra qu'il prit avec douceur dans ses bras pour la poser sur le canapé non loin de là, lui cachant le spectacle du corps de Zaza. Enfin, il prit Enzo dans ses bras avec délicatesse, et ce dernier gémit. Aussitôt, Ambrosio s'excusa, et il lui embrassa doucement le front. « Tu es fou. Tu es un vrai Venceslao... » il eut un petit sourire. « J'ai mal, tonton. »« Pleure, ça te fera un peu de bien. »« Non, sinon, je ne serais pas un vrai Venceslao. »Ambrosio baisa le front de son neveu, et le serra doucement contre lui. Enzo se mit à pleurer silencieusement jusqu'à ce que la douleur l'emporte dans un état inconscient. L'adrénaline s'en était allé. A côté, Alessandra semblait sortir ses derniers sanglots. * vive google traduction anglais - italien. je parle anglais, mais l'italien, rien. XD ! |
| | | Drago L. Malfoy
Nombre de messages : 182 Age : 32 pseudo : Valou (c) © avatar : Emy (c) Date d'inscription : 24/12/2008
La pensine année d'étude: Quatrième année animal: notes:
| Sujet: Re: r-evolve ; Jeu 8 Jan - 23:29 | |
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Oulah, y aurait-il eu un oubli ? Si c'est le cas j'en suis navré !
Ta fiche est-elle terminée ?
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| Sujet: Re: r-evolve ; | |
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