Discorde Van Silverwood

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✬~Discorde Van Silverwood
« La véritable musique est le silence
et toutes les notes ne font qu'encadrer ce silence. »

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« Viens, nuit solennelle,
matrone au sobre vêtement noir
apprends-moi à perdre, en la gagnant,
cette partie qui aura pour enjeux deux virginités sans tache ;
cache le sang hagard qui se débat dans mes joues,
avec ton noir chaperon,
jusqu'à ce que le timide amour devenu plus hardi,
ne voie plus que chasteté dans l'acte de l'amour. »

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Les informations de cette fiche sont de l'imagination de Zina/Ash/Disc`horde*

, ainsi que les icons et mini-bannière.
Chaque information, notes et autre est créditée à son auteur original.

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Prélude

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◊ Nom :

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Van Silverwood. Un nom que l'on ne modifia que très légèrement, puisqu'en Angleterre, il est plutôt connu avec le Von. C'est un nom qui a de l'allure, de la grâce et qui laisse à présager une certaine notoriété au sein de la Société. Il suggère aussi une certaine dose de pouvoir selon le membre de la famille qui le porte, ils sont deux frères à le porter, et si l'un se révèle être un homme froid et sans foi, l'autre serait plutôt du genre altruiste bien qu'une pointe de froideur se lise sur son visage. Un nom que dans les deux cas, il serait à tort de sous-estimer...

»

◊ Prénom :

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On lui donna trois noms majoritaires, et qui n'avaient en rien une histoire ni une consonnance Anglaise. Discorde, Aphrodite, Eris. Des prénoms Grecs qui ne lui vont que trop bien et qui semblent refléter sa personnalité énigmatique. Discorde, prénoms de la soeur d'Arès, une femme qui aimait à jeter le trouble autour d'elle, sans se soucier une secondes des conséquences que cela pourrait engendrer... Aphrodite, déesse de la beauté dont le minois faisait pâlir de jalousie bien plus d'une femme... Eris, un autre synonyme de Discorde... Pourquoi donc ces noms qui ne reflétaient que ces Dieux de l'ancien monde? Allez savoir, certainement un caprice des parents ou d'une tierce personne... Pourtant, il subsiste un prénom Anglais entre ces trois, un quatrième que les Grands-parents paternels voulurent donner à la jeune fille, malgré tout... Johana...

»

◊Surnom :

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Bien qu'elle ne réponde que très rarement aux surnoms qu'on lui accole, elle en possède malgré tout, bien qu'il s'agisse majoritairement d'un de ses prénoms : Aphrodite, pour son minois fragile et sa douceur amoureuse...
En toute familiarité, il existe tout de même Dis`.

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◊Âge & date de naissance :

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Aujourd'hui âgée de 16 ans, on la sait née dans les alentours de Février, le 14 en vérité, au jour de la Saint-Valentin. Quel plus beau cadeau de la part de son compagnon que celui d'un enfant?

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◊Nationalité:

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Etrange nationalité que la sienne, et vous allez rapidement savoir pourquoi : Discorde n'est née ni sur la Terre où elle vivait avec ses parents, ni même sur la Terre qui devait l'acceuillir pour sa mise au monde. Un autre caprice du destin certainement, à moins que ce ne soit le sien. Quoi qu'il en soit, Discorde possède deux nationalités, puisque née dans un endroit peu commun : La Mer du Nord, sur un bateau qui l'emmenait en Angleterre... Mi-Norvégienne, mi-Anglaise, voilà donc ce qu'elle est.

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◊Ascendance :

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La Famille Von Silverwood est connue pour sa prétention à vouloir conserver son sang-pur, et les deux frères ne dérogèrent pas à la règle en prenant épouse, Discorde fait donc partie de la lignée de ces derniers, mais par les temps qui courent, et notre triste époque, il est bien peu probable que ce sang, aussi noble qu'il soit, ne puisse réellement le demeurer...
La richesse de cette famille est séparée entre les deux frères, et vient s'ajouter à cette dernière, la dot de leur femme. Ils ne manquent de rien, c'est le cas de le dire...
Son éducation est la même que ses ancêtres, elle apprit tout comme eux la musique, les arts et bien d'autres choses encore que je vous laisse découvrir. Si elle est fière de ses origines, elle n'en montre cependant rien, sa personnalité et son mutisme allant à cet encontre...

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Chapitre Premier

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◊ Maison pressentie

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La soif de savoir et l'envie d'apprendre de Discorde sont telles que la maison qui lui correspond le mieux est certainement celle de Rowena Serdaigle.

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◊ Année d'étude :

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Lorsque que l'on a 16 ans de vie, il est plus que naturel que de retrouver la jeune fille en Sixième année, après avoir obtenue, au terme de sa Cinquième année, un total de 11 BUSE, lui permettant de se classer parmi les meilleurs étudiants de son année, toutes maisons confondues.

»

◊Baguette magique :

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Composée de bois de Rosier, elle mesure environ 27,9 centimètres. Le sang de ce bois piège au creux de cette baguette Souple & Légère une Écaille de Sirène, prélevée quelques heures avant la confection de cet instrument de magie. On serait à même de penser que cette baguette, précieuse pour sa détentrice, est à l'image de cette dernière, on l'on ne saurait se tromper.
Le manche, quant à lui, est d'argent et semble idéal pour un maintien correct et une bonne maitrise des gestes. Sur ce dernier est gravé l'emblème de la famille Van Silverwood, ainsi que les propres initiales de la jeune fille.

»

◊Animal:

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Connaissez-vous ce petit animal que l'on qualifie de petit, protégé et qui fut un temps, offrit son poil pour rendre service à la Mort elle-même? Un Demiguise. Etrange comme animal de compagnie n'est-ce-pas? Mais certainement pas autant que de posséder un serpent ou un Boursoufflet. La fourrure du Demiguise est prisée pour ses caractéristiques étranges, c'est elle qui confère aux capes d'invisibilité leur pouvoir, et tout comme ces rares et étranges capes, ce petit animal ressemblant fortement à un tout petit sage mais au regard mille fois plus intelligent, peut lui aussi disparaître à sa guise... Méfiez-vous... Si vous voyez votre pomme s'envoler toute seule, vérifier tout d'abord si un de vos camarades n'est pas en train de vous jouer un mauvais tous, si ce n'est pas le cas, Abysmal, le petit Demiguise de Discorde n'est peut être pas bien loin...

»

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Chapitre Deuxième

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◊ Epouvantard :

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Qui ne rêverait pas de connaître l'Epouvantard de Miss Discorde Van Silverwood ? Etrange chose que voilà, il s'agit d'une créature mystique, mi-homme, mi-bête et dont seule la blancheur de l'Astre Lunaire révèle sa véritable nature. Vous l'avez comprit, il s'agit bien du célèbre Lycan... Pourquoi une telle frayeur? Certainement à cause des légendes, des bruits qui courent...

»

◊ Miroir du Rised :

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Une jeune fille assise à un piano, les lèvres remuant comme si elle chantait. Ses cheveux sont aussi blonds que les siens, son regard aussi bleu que peut-l'être son regard. Elle n'est pas différente d'elle, puisqu'il s'agit d'elle. Oh combien elle aimerait posséder une voix pour accompagner les notes de la mélodie jouée au piano... Ce serait certainement son unique vœu, son unique désir...

»

◊Patronus :

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Le patronus de la jeune fille prend la forme d'un cygne, animal antique et ô combien immaculé. Aussi pur que la demoiselle, il ne peut que lui convenir.

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◊Phobie :

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Le vide. Que peut-il y avoir de pire que le vide qui se dresse devant vous? Luthina a le vertige, ainsi, ne songez jamais à la croiser sur un balai, ou alors, ce ne serait pas elle...

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◊Particularité : Comment fait-elle?

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Être muette ne signifie pas que la jolie jeune fille ne peut pas s'exprimer, bien au contraire, et la demoiselle à trouvé quatre façons pour le faire :

- La première est naturellement, Le langage des Signes, une façon de s'exprimer qu'elle connait depuis qu'elle est en âge de l'apprendre. Hélas, bien peu de personnes doivent connaitre ce langage n'est-ce-pas?

- La deuxième est L'écriture : Sur du parchemin ou une autre matière, qu'importe...

- L'expression du visage, les mimiques, les regards, les sourires...

- La Baguette Référence HP 2 : Tom Jedusor. Ecrire des phrases avec sa baguette est très certainement le moyen le plus efficace et le plus rapide qu'elle ait pu trouver et que ses parents lui ont aidé à manier. Les lettres s'inscrivent dans les airs, dans un bleu parfaitement lisible.

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Chapitre Troisième

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Mes Racines & Mes Ailes

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Cette histoire se passe à l’aube des Temps, à cette époque où seuls les Dieux anciens régissaient notre monde par les plaisirs charnels, les cultes et les sacrifices. Mais l’abandon de soi et la routine des fêtes deviennent lassants. La nouveauté se recherche et l’idée de créer quelque chose de différent finit enfin par traverser l’esprit de quelques Dieux et déesses, dont celle de la beauté et de l’amour… Ils ne furent que quatre Dieux à mettre en œuvre leur idée, créant à l’aide de nuages, d’eau et de terre quatre formes aux courbes féminines. Ils passèrent assez de temps pour les rendre parfaite, chacun insufflant à sa créature une aura qui ne la quitterait jamais, et chacun apporta à la créature de l’autre sa petite touche personnelle, signant ainsi ces œuvres rares et uniques, accomplissant ainsi un travail d’équipe qui ne se reproduirait certainement pas.

La première créature, imaginée par l’un des Dieu du Nord, possédait une peau si pâle qu’on eut dit de la neige. Ses cheveux, roux, semblaient être des flammes, son regard, d’émeraude, était certainement aussi perçant que celui d’un aigle. Elle possédait un charme mystique qui n’en était que plus effrayant cependant. On lui assigna le nom de Banshie. Sa particularité lui fut donné par les Dieux des Enfers, dans ce don de prévenir la mort d’un membre de la famille à laquelle elle serait attachée. Et la Banshie fut envoyée en Irlande.

La deuxième créature, imaginée par la plus douce des déesses, était, quant à elle, certainement aussi belle que sa créatrice, possédant une chevelure blanche, une peau pâle et un regard bleu profond. Ses lèvres aspiraient à être embrassées, ses formes tentatrices étaient couvertes d’un tissu blanc et fin. Elle n’aspirait qu’a l’amour et ce don fut accentué d’Aphrodite, déjà captivée par la créature à qui l’on donna le nom d’Amoureuse de l’Onde. On lui offrit le don d’aimer seulement et de ne jamais ressentir un sentiment négatif. Offrir son cœur était sa seule mission, à condition de quelques règles qu’il ne fallait jamais transgresser. Et comme nul ne sut où l’envoyer, on lui laissa choisir son habitat, qui, à sa demande, fut un profond lac où elle vit certainement encore… ()

La troisième créature, imaginée par Arès et la déesse de l’enfer ne surpassa jamais la beauté de ses sœurs, loin de là. Elle était si hideuse avec ses cheveux crépus, son rictus moqueur et son regard glacial qu’elle répugna même certains dieux. Ses créateurs, qui furent seuls à s’en occuper la baptisèrent Furie, lui offrant ce don de la colère et de la violence. Ses ongles, plus acérés que des griffes, lui permettent de traverser la chair des hommes et d’en faire son repas… A elle aussi, on lui laissa le choix de l’habitat, et aujourd’hui, on ne sait d’elle qu’elle ne fait que voyager, imposant sa présence partout où elle passe… Et les légendes naquirent…

La quatrième créature, et celle qui nous intéresse certainement le plus, fut crée par Aphrodite elle même, à son image et à sa beauté. Aussi blonde que les blés, son regard bleu ensorcèle, elle aspire à l’amour, à la chair… Sa peau est aussi douce que celle d’une pêche, ses lèvres aussi délicieuses qu’une sucrerie… Et tout comme Aphrodite avant elle, elle conquit les Dieux, les soumettant à sa loi de l’amour, ce qui ne plus guère à la Déesse qui de rage, l’envoya quelque part en Europe, loin d’elle, loin de tous… Hélas pour notre déesse à la jalousie connue de tous, en créant celle que l’on appelait Vélane, elle lui avait aussi transmit sa propre personnalité, et désormais, les humains avaient parmi eux, la Déesse Aphrodite humaine… Et la belle créature erra, encore et encore, dominant les pulsions des hommes, jalousant les femmes qui tenaient sous leur coupe ces hommes qu’elle désirait… Et sa descendance naquit, et les Vélanes furent de plus en plus nombreuses… Pullulant dans la belle France dont elles se firent maîtresses implicites…

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Simple Mortel

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Il a 10 ans, son frère en a 14. Ils sont proches et pourtant si différents, il est blond, il est brun, jeune et vieux. Calme et violent. Pourtant, plusieurs choses les unies : ils possèdent tout deux ce même air froid sur le visage, portent le même patronyme : Von Silverwood. Leur mère, Olivia, est une femme sévère dont seule la réputation compte, leur père, Wilhem, est un homme dur et froid, adepte de cette magie que nul n’aime réellement, et possédant un certain poste important au sein du Ministère de la Magie. Son fils aîné, Erasmus, suivra certainement ses traces sur toute la lignée, mais son cadet, Wenceslas, ne fera que la moitié du chemin, préférant seulement le poste au Ministère aux sombres occupations des deux autres hommes de la famille. Mais l’heure n’est pas encore au futur… Et cette joyeuse famille habite l’angleterre, contrée froide où les habitants ne se parlent pas toujours…
Les années passent et l’homme qui nous intéresse le plus est certainement Wenceslas. Tout comme son frère, il a fait ses études dans la Maison de Serpentard, laissant le soin à son aîné d’en être le Prince, lui laissant les conquêtes féminines, car après tout, il n’a d’yeux que pour la belle Mary-Ann, une Serdaigle de son année, intelligente, belle et surtout, désirable comme le jour. Oh combien il la désire cette jeune fille au regard émeraude, au point de la vouloir pour l’éternité… S’il savait alors que la belle n’a d’yeux que pour lui elle aussi… Il leur faudra pourtant attendre la fin de leur Septième année pour être ensembles et trois autres années avant de se marier. Moins d’un an plus tard, elle lui donne un garçon, Sabazios. Hélas, elle ne profitera de lui que pour une période de 3 ans, car la voilà qui décède, à la suite d’une maladie contre laquelle même les Sorciers n’y peuvent rien… Oh combien la douleur l’étreint à cet instant, lui-même souhaiterait quitter cette Terre et rejoindre celle que son cœur ne pourra jamais oublier… Mais ne peut avoir l’audace d’abandonner son unique fils… Aussi l’emmène t’il avec lui dans son long voyage qui durera un an…

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Figure inhumaine

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Oh qu’elle est belle cette petite enfant au regard bleu pétillant, à la chevelure blonde comme les blés… Aussi belle que sa mère et sa grand-mère certainement, mais contrairement à ces deux femmes, sa beauté est bien résistible pour l’heure… Du moins, jusqu’à ses 16 ou 17 ans… Car n’est elle pas issue d’une famille ou les femmes sont des vélanes, délicieuses créatures attirantes, auxquelles on ne résiste pas… Un don qui se reflète dans leur regard, dans leurs gestes…Dans tout ce qu’elles font, et la petite fille, répondant au prénom de Psyché est terriblement impatiente de grandir pour être aussi belle que les femmes de sa famille… La voilà qui se plait à porter leurs bijoux, porter une de ces robes oh si belles… Petite impatience qu’elle apprend pourtant à dompter...
Comme sa mère avant elle, elle étudiera à Beauxbâtons, bien acceuillie au sein de cette communauté, se montrant élève assidue, mais capricieuse, ne répondant que très rarement aux jeunes hommes qui la poursuivent dans les couloirs. Et d’autres années passent, ses 17 ans notamment, année où en plus de sa beauté, elle dégagea un parfum qui ne fit qu’accentuer le nombre de prétendants qui lui tournaient déjà autour, ne l’aidant que dans sa tâche pour charmer. Mais nul ne trouvait réellement grâce à ses yeux… Du moins, pas encore, car il lui fallut attendre ses 20 ans avant de trouver cette âme sœur, celle qui lui correspondait parfaitement….

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A l'Assaut des Regards...

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Il avait suffit d’un seul regard. Un seul pour qu’il en tombe éperduemment, il s’en souvenait comme si cet instant s’était passé la veille. Elle était là, attendant le Magicobus, ses cheveux blonds lâchés sur ses épaules, son regard posé sur les lignes de son livre qu’elle s’évertuait à lire. Il se tenait assis, son fils d’a peine 4 ans posé sur ses genoux, jouant avec un yo-yo magique tandis que lui-même regardait le paysage. Et elle était arrivée, cette belle jeune femme aux longues jambes, à la robe d’été fleurie, aux bras fins nus. Il avait eu le bonheur de poser son regard sur elle et d’en être attiré. Elle avait eu l’audace de passer à côté de lui et laisser un effluve d’une odeur étrange traîner derrière elle. Oh combien elle était si désirable… Et étrange coïncidence, ils descendaient au même endroit… Elle ne l’ignorait pas, avait bien senti qu’il était l’être idéal, un compagnon parfait pour elle… Mais… Oh combien elle hésitait à se mettre « en chasse » pour le charmer et faire de lui celui pour qui elle conserverait toutes ses attentions…
A peine descendus du Bus, ils ne pouvaient s’empêcher de discuter, de faire connaissance… Des regards qui ne se lâchent plus, des assauts de regards un peu plus à chaque minute… Et de fil en aiguille, des rendez-vous donnés, des journées passées ensembles, puis des nuits… Le voyage cesse ici, dans la belle ville de Paris. Il a trouvé celle qui lui fait oublié sa première femme, celle qui offre des attentions maternelles à son fils. Il est celui pour qui elle quitterait tout… Et moins d’un an après, les fiançailles sont annoncées, mais peut-être pas pour le bonheur de la famille Silverwood et la petite famille à en devenir quitte l’Angleterre et la France, contrées sur lesquelles ni l’un ni l’autre ne peuvent faire un choix pour y habiter… Et leur choix se porte sur la Norvège, contrée où ils ne pourraient qu’être en paix, en parfait accord, ni l’un ni l’autre ne craignant le froid, et admirant la beauté de cette contrée… Oubliez le pays en lui-même, car ils vivent sur l’une des îles présentes autour, loin du regard moldu… Et sur la demande de la fiancée, Wenceslas change son nom, un tout petit mot... Troque le Von pour un Van...Etrange n'est-ce-pas? A qui le dites-vous...
Erasmus quant à lui, se prit aussi d’amour pour la fiancée de son frère, jusqu’à lui faire la cour, sans succès hélas, veillant toujours cependant à une éventuelle brèche entre les deux amants…

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La Fidélité

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Un simple mot : Fidélité. Psyché n’en manqua jamais à son époux, l’aimant de tout son être, de tout son corps, lui accordant toutes ses attentions, sans jamais se refuser à lui, prenant soin de lui, et de ce fils qu’elle acceptait comme le sien. Puis un jour, la bonne nouvelle arriva, la vélane était enceinte de son premier enfant et du deuxième de Wenceslas. Oh quelle nouvelle ravissante ! Et lui qui désirait connaître le sexe de l’enfant quand elle ne le désirait pas, chamaillerie qui dura pendant près de neuf mois sans que jamais l’époux ne réussisse à persuader sa femme de le laisser savoir. « La curiosité est un vilain défaut » ne cessait elle de lui souffler à l’oreille. Craignait-elle qu’il soit déçu s’il apprenait la nature de l’enfant ? Voulait il un fils lorsqu’elle voulait une fille ? Et chaque mois, son ventre se laissait voir, rond et protégeant une petite créature qui dormait si bien à l’intérieur de celui-ci. Et neuf mois ainsi passèrent, jusqu’à ce 13 Février où le nourrisson décida qu’il était peut-être temps pour lui de se manifester. Que n’avait-elle choisi le bon jour ! N’aurait-elle pas du naitre une semaine plus tard, dans un hôpital en Angleterre et non pas sur un bateau en pleine mer du Nord ? Peu importait à l’enfant, s’il désirait sortir, rien ne pourrait l’en empêcher désormais… Il fallut bien 17 heures de travail avant de faire sortir la petite canaille, 17 heures qui menèrent au 14 février, fête des amoureux… Mais comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule… Une petite fille. C’était une petite fille et les deux parents savaient déjà comment serait sa vie, puisque dirigée ou presque par ce don héréditaire, mais hélas, oui, hélas… Elle naissait sans voix. Jamais elle ne crierait, jamais ne rierait, ne chanterait… C’était ainsi, et nul ne pourrait rien faire pour remédier à ce problème… Cela n’empêcha pourtant pas les parents de penser qu’ils aimeraient leur fille de tout leur cœur, de tout leur être. Il leur faudrait juste…S’habituer à son silence.

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Petite Musique de Nuit...

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On me nomme Traümke. Je suis l'Elfe de Maison de la famille Van Silverwood depuis maintenant leur installation dans la contrée glaciale de Norvège. C'est à moi qu'il incombe maintenant la tâche de vous décrire ma jeune maîtresse, Discorde, enfant que la nature parât de certains dons, mais qu'elle finit par tant jalouser qu'elle décida de la punir en lui ôtant la voix... Que Merlin veille sur elle, car il n'existe pas de créatures qui soit ainsi autant démunie qu'elle... Oh que je radote depuis toutes ces années, pardon, pardon...

Très souvent, dans les caractères, on trouve de grands stéréotypes du genre « Face d'Ange, Diable Intérieur » ou encore « Rusé comme le renard, Malin comme le Diable ». Tant de phrases qui pourraient résumer un caractère et qui, au final s'avèrent être des tissus mensongers. Ici, je ne peux vous dire que Discorde est trop méchante, ou trop gentille, car un tel être n'existe pas véritablement : nous avons tous un jour éprouvé un sentiment de bienveillance à l'égard de quelqu'un ou de quelque chose, tout comme nous avons déjà ressentie cette terrible envie de devenir mauvais, de tuer, très souvent par énervement. La jeune fille que je vais vous présenter ici se trouve être entre les deux. Un mélange de profonde gentillesse et de douceur ainsi que d'invariable mépris et mauvais fond trop bien caché et qui ne sort qu'en de rares occasions en vérité.
Dans un premier temps, afin d'être le plus complèt possible, je vais vous présenter Discorde de l'époque où elle fut en âge de faire des caprices et suite jusqu'à ses 11 ans. Puis, dans une seconde partie, nous découvrirons ensembles la jeune fille de ses 11 ans, âge où il lui fut permit d'entrer à Poudlard et où elle commença sa lente et longue évolution...

2.1 Discorde : De son Enfance à ses Onze ans

Nombreux furent les personnes qui crurent que grâce à son Handicap, Discorde serait une enfant turbulente et exigeante. Nombreux furent déçus et vexés de constater que la jeune héritière n'était pas ainsi, mais qu'au contraire, elle se montrait une petite fille admirablement douce et calme. Calme, oui c'est bien le mot, comment aurait il d'ailleurs pu en être autrement? Bébé, personne ne l'entendait pleurer, de sorte qu'on ne pouvait savoir si elle avait besoin de quelque chose, seules quelques larmes et les petites grimaces indiquaient que quelque chose n'allait pas. Il fallait quelqu'un avec elle jour et nuit, quelqu'un qui ne lâche pas le petit poupon des yeux. Ses nourrices furent au nombre de deux : une diurne et l'autre nocturne. Deux nurses qui n'avaient d'autre travail que de s'occuper de cette enfant et qui devait savoir prévenir ses besoins. Elle n'était pas exigeante à cette époque; comme tout bébé, elle savait faire un caprice quand il fallait, piquer une colère ou au contraire s'égayer devant un sourire, des paroles ou autres, toujours silencieusement. Une colère était souvent annoncée par cette rougeur sur le visage du bébé, accompagnée d'une grimace typiquement bambine. Un caprice par un froncement de sourcils, quand à sa joie, il suffisait tout simplement de voir le sourire qu'elle vous offrait, vont dévoilant par exemple cette petite dent qui avait poussé, ainsi que ce pétillement dans ses yeux bleus aux paillettes dorées.

Lorsqu'elle fut en âge de marcher, non pas à quatre pattes, mais bel et bien debout, et qu'elle fut capable de trottiner, la petite fille ne se privait pas de tenter de semer sa nourrice diurne en vagabondant dans les pièces du Manoir qui lui étaient accessibles, et très souvent, elle se cachait sous la table recouverte d'une longue nappe traînant au sol, causant ainsi bien de soucis à la pauvre jeune femme qui avait beau l'appeler, sachant pertinemment qu'elle n'obtiendrait sans doute jamais réponse. Et sagement, la petite fille aux cheveux blonds comme les blés ondulés attendait, observant, après avoir soulevé un pan de la nappe, ce qui se passait autour d'elle, mais relâchant aussitôt le tissu dès qu'elle apercevait les chaussures de sa bonne d'enfant. Puis, au bout d'un certain temps, finissait par s'allonger à même le sol et s'endormait, et finalement, on la retrouvait, le pouce dans la bouche. Que de soucis elle avait pu causer ! Mais il arrivait qu'elle s'ennuie sous sa table, aussi sortait elle, trottinant de nouveau dans le Manoir, retrouvant sa nourrice qui alors la grondait si gentiment que la petite fille ne pouvait s'empêcher d'entourer le cou de sa nourrice de ses bras avant de déposer ses petites lèvres roses sur la joue de cette dernière en guise de baiser de pardon. Ainsi lui donnait-on « Le Bon Dieu sans Confession ».

Charmante enfant, elle se laissait coiffer et habiller sans rechigner, mais gare aux petites tapes qu'elle osait lancer à celle qui lui avait tiré les cheveux en la brossant, ou lui avait griffé la jambe en lui mettant ses bas ! Et si la jeune enfant savait se montrer douce et aimante en présence de sa nourrice, de ses parents et parfois des invités, elle savait aussi se montrer particulièrement méchante avec son frère aîné, qui lui de même était singulièrement détestable avec ce petit ange blond. Les deux n'hésitaient pas à se faire de mauvais coups entre eux. Mais cela est une autre histoire, car leur histoire est toute aussi particulière que celle de Discorde seule...
Petite déjà, on dénota chez la cadette de la famille Van Silverwood un goût prononcé pour l'apprentissage et les études. Elle apprit à écrire et écouter, puis lire vers environsix ans. Un âge que l'on trouvait raisonnable pour les études. Commençant très souvent dans les alentours des 09 heures, elle ne s'arrêtait de travailler qu'à 12h30, où on lui laissait 01h30 de pause, dans laquelle elle dînait et pouvait jouer avec le chat de la maison: Batsie. Puis, à 14 heures, ses leçons reprenaient et se s'arrêtaient qu'à 16 heures. On avait décidé que puisqu'elle aimait étudier, ses leçons seraient plus longues et plus nombreuses afin qu'elle en sache le plus possible sur ce qui fut, ce qui est, et ce qui pourrait être, après tout, ne montrait-elle pas déjà une certaine prédisposition, allant très souvent dans la blibliothèque pour aller chercher un livre qu'elle ne lisait pas toujours en entier vu son âge... Et, elle ne se plaignait pas, bien en contraire, car certaines des leçons l'amusaient particulièrement, notamment la danse, le dessin et la musique, dans lesquelles elle excellait étonnamment. Vive et intelligente elle fut et demeura, en demandant toujours plus, désirant toujours savoir comment et pourquoi, dans quel but...
Et malgré son handicap, elle se montra très sociable et apprit a faire la distinction entre les gens qu'elle pouvait aisément fréquenter et ceux qu'il valait mieux qu'elle évite...

2.2 Discorde : De ses Onze ans à Maintenant...

La curiosité éveilla Discorde peu après ses Onze ans, lorsqu'à la mi-été elle reçut, tout comme son frère avant elle, une lettre dont les mots étaient écrits avec une encre verdâtre, comme s'il s'agissait d'encre d'émeraude. En la tournant, elle découvrit le sceau de Poudlard. On lui avait parlé de cette école, mais sans grande conviction, comme si l'enfant ne pourrait sans doute jamais y aller suite à son handicap. Mais elle était bien là cette lettre qui lui indiquait qu'elle y était inscrite depuis sa naissance (ou presque). La joie s'empara alors d'elle, comme si elle n'avait jamais eu l'espoir de s'y rendre. Mais avec cette fameuse lettre, une autre s'y trouvait, destinée à ses parents. Ce qu'il était inscrit dedans, la jeune fille ne le sut pas, néanmoins, elle put le deviner aisément, car sitôt sa propre baguette en main, on lui enseigna de nouvelles choses, et comme tout ce qui est nouveau plait énormément à la jeune fille, elle s'appliqua à la tâche, et ainsi découvrit une nouvelle chose qui lui servirait sans aucun doute tout au long de sa vie. La curiosité disions nous, s'empara de la jeune fille, non seulement lorsqu'elle reçut cette lettre, mais aussi lorsqu'elle arriva dans la forteresse de Poudlard. Elle découvrit très vite que là où elle se trouvait, il n'y avait pas de place pour les faibles et les fainéants. Elle n'était fort heureusement, ni l'un ni l'autre, néanmoins, fragile, elle l'était, et si aujourd'hui, on ne le voit pas, croyez bien que ce petit détail demeure toujours en elle. Elle fit très vite ses preuves en remballant ceux qui s'étaient moqués d'elle, ce fut la première et dernière fois qu'elle eut à le faire avec ces gens-là. Elle devait montrer qu'elle était comme tous les autres, et elle y parvint sans peine, tant sa détermination était grande. Dès lors, dès ses onze ans, nous n'eûmes plus à faire à une trop douce jeune fille, mais bien le partage des deux: douce d'apparence et rêveuse d'air, mais terriblement froide et déterminée à l'intérieur lorsqu'il s'agissait de se défendre. Elle ne voulait plus se laisser marcher sur les pieds et avait bien compris que le seul moyen de ne pas être le ver de terre que l'on écrase était de se montrer autrement qu'elle pouvait l'être. Pourtant, était elle devenue ainsi par simple instinct de survie? Nous dirons que non. Discorde naquit ainsi, mais on avait conservé sa fragilité et son innocence dans un petit cocon, espérant que le papillon qui en sortirait serait bleu et blanc, hélas, il en sortit rouge et noir, pourtant, sur l'autre face du papillon, il y avait bien du bleu et du blanc, mais si bien caché qu'il faut chercher pour le trouver.

Ce fut aussi de cette manière que notre jeune demoiselle comprit la nature de son aîné. La chose était si évidente! Poudlard & la maison de Serpentard révélaient tout simplement le mauvais côté des gens...Or, lui qui s'y trouvait et était déjà bien assez...violent en lui même, elle se rendait bien compte que la chose était pire que cela! Il n'y avait de la place que pour les forts et ceux qui se montraient les meilleurs. Oh ne croyez pas que Discorde devint une véritable petite peste assoifée de pouvoirs! Ce ne fut jamais le cas, et sans doute cela ne sera jamais. Non, elle resta la douce jeune demoiselle d'apparence qu'elle était, mais une once de terrible malice s'était insinuée dans ses veines, se mêlant au rouge de son sang. Si elle ne vise pas la puissance, Discorde est tout de même ambitieuse et déterminée, bien que son handicap ne lui permette pas toutes les choses qu'elle voudrait faire... Ce qui n'empêche pas que la jeune fille se donne tous les moyens pour réussir, continuant d'étudier invariablement, comme elle l'avait toujours fait. Erudite dans l'âme...

Sur un point de vue hormone et adolescence, Discorde se montra être une jeune demoiselle bien indécise et parfois contradictoire. Refusant systématiquement que ses sentiments prennent le dessus sur la personne qu'elle était devenue, elle se débarrassa de tous ses prétendants, demeurant ainsi d'une innocence sans faille. Ne croyez pas un instant que la gente masculine ne l'intéresse pas, disons simplement que la demoiselle peut avoir peur de ce sentiment oh combien ridicule qu'est l'amour. Remercions pour cela ses fidèles amies qui se sont trouvées bien souvent déçues par nos jeunes hommes de Poudlard et d'ailleurs ! Mais la nature qu'elle possédait ne semblait pas l'aider dans sa tâche, elle qui dégageait déjà une beauté fragile et divine...Elle savait que d'ici un an, les choses iraient certainement en empirant.

Et au sujet de l'amour et des sentiments, nous découvrons alors une nouvelle face de Discorde : consolatrice. Elle dût en sécher des larmes coulant des joues de ses amies déçues. Attentive, elle peut prévenir vos moindres attentes et désirs, mais attention à ne pas la prendre pour un elfe. Ce serait là vos dernières pensées... Un sort est si vite arrivé. Car en effet, la jeune demoiselle n'hésitera pas une seconde à vous lancer un maléfice si vous vous montrez insolent et imprudent. Attention à ce que vous dites voilà tout!

Ainsi, durant cinq ans, la jeune demoiselle se montra inévitablement respectée, et bien des élèves se demandèrent comment la jeune demoiselle parvenait à vivre avec son handicap qui ne semblait plus en être un à ses yeux. Mais il y a tant de choses que l'on ne peut décrire sur cette jeune fille, qu'elle est devenue une véritable énigme. Comment une adolescente si douce en apparence pouvait elle se montrer parfois glaciale et terriblement dure? Sa franchise suscitait l'intérêt de tous, cas il était bien rare de voir une personne n'ayant pas peur de dire les choses telles qu'elles étaient. Et la meilleure, c'est qu'il n'y avait rien de blessant là-dedans, il s'agissait juste d'une manière de remettre les gens en place et de faire en sorte qu'ils en tirent une leçon pour l'avenir. Curieux que tout cela...

Voilà donc le mystère Van Silverwood. Pénétrez donc le labyrinthe de sa vie dès à présent, et amusez vous à en sortir sans qu'elle ne s'en aperçoive... Et puisqu'il est de mon devoir de vous faire découvrir ma merveilleuse maitresse, laissez-moi donc vous faire découvrir ses goûts...

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Les goûts de Miss Van Silverwood sont aussi simples qu'au possible, bien que certains vous paraîtront sans doute assez hors du communs ou bizarres. Mais avant tout commençons par les plus simples et les plus communs. Nous verrons aussi comment Discorde s'est trouvé à les apprécier. Dans un deuxième temps, nous verrons aussi ce qui l'insupporte et ce qu'elle n'aime pas.
Cela peut concerner aussi bien les activités que les personnes ou plats... Tout y passe sans exception...

• Ce qu'elle aime : Durant ses longues heures d'études, Discorde découvrit en premier lieu le piano. En possédant un dans le Manoir, il était tout à fait naturel qu'elle finisse par s'y intéresser n'est ce pas? Son professeur de piano la fit patienter bien des moments avant de finir par la laisser toucher l'instrument. Et si elle eut un petit temps d'adaptation pour cet instrument qu'elle se mit à aimer de tout son cœur, elle se montre aujourd'hui une grande virtuose du piano: ses doigts ne frappent plus les notes comme lorsqu'elle avait environ 6 ans, mais glissent dessus, donnant une légère impulsion pour composer la note. Il n'est pas rare qu'elle donne des petits concertos lors de dîners chez ses parents ou chez des hôtes.
Vient ensuite le dessin, que tout comme le piano, elle apprit durant son enfance, bien qu'elle dut posséder un don. Car comme chacun le sait, le dessin ne s'apprend pas aussi facilement que l'on peut le penser. Préférant dessiner les natures mortes aux portraits, il n'est cependant pas rare de voir la jeune fille dessiner quelques portraits au vent, de n'importe quel élève qui s'est figé quelque part... De même que ses dessins sont très souvent en noirs et blancs, il lui arrive de peindre en couleur, rendant ses œuvres "vivantes".
Sa passion réside principalement en la concoction de potions et de philtres. Il n'est pas rare de trouver la jeune fille penchée sur un chaudron, dans une salle prévue à cet effet. Elle concocte majoritairement des philtres de paix et philtres de guérison. Elle possède d'ailleurs, cachée sous son lit, une petite malle à code renfermant plusieurs petits flacons de divers philtres, et deux fioles de Polynectar et de Felix Felicis...Mais chuuut: cela est un secret entre vous et moi...
Il y a bien d'autres choses que la jeune fille apprécie, notamment faire des duels avec d'autres élèves: perdre ou gagner l'importent peu, le tout est qu'elle s'améliore. Ecrire lui procure aussi une immense satisfaction, tout comme partir à la recherche de plantes.

Son autre passion? Observer Charles T. Devonshire, en toute discrétion naturellement... Ce jeune homme l'intrigue, à un certain haut niveau. D'ailleurs, n'a t'elle pas fait quelques recherches sur lui comme sur d'autres personnes? Non ce n'est pas de la curiosité : juste une façon de se renseigner...

• Ce qu'elle n'aime pas : L'insolence et le mensonge sont les deux principales choses que la demoiselle déteste, bien qu'il lui arrive d'utiliser ces deux défauts malgré elle...

Sa principale phobie demeure les grenouilles. Une mauvaise plaisanterie de maïtre Sabazios sans doute. Elle ne supporte pas la vue de ces batraciens et il n'est pas rare de la voir se percher sur une table ou une chaise à la vue d'un de ces reptiles. Nous y comptons aussi les Crapauds bien entendue...

Il y a naturellement bien d'autres choses que Discorde ne supporte pas, comme certains sentiments, ou encore même certains plats tels que le poisson à la Norvégienne. Détestant par dessus les gens qui parlent pour ne rien dire, voire les bavards, la jeune demoiselle préfère quitter ce groupe de piailleurs pour s'enfermer dans sa Salle Commune et lire un bon livre. Jalousie surement...
Sachez cependant que la jeune demoiselle n'est pas envieuse...

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Et le Diable s'en mêla...

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Mon nom? Sabazios Von Silverwood. Non, pas Van. Pourquoi irai-je changer de nom pour les caprices d'une femme? Aussi vélane soit-elle, aussi désirable puisse t'elle demeurer. Puisque notre stupide Elfe à décrit la personnalité de ma chère et tendre soeur, pourquoi n'en ferai-je pas de même sur sa beauté? Naturellement je m'engage à ne dire que la vérité, puisque je n'ai pas véritablement le choix... Laissez moi juste le temps d'allumer une cigarette...

On raconte que Discorde pourrait aisément égaler une véritable Vélane, ce qui n'est guère étonnant en réalité, puisqu'il se trouve qu'elle fait partie de cette catégorie de femmes. On dit aussi que sa beauté est terriblement irréelle, qu'elle est sans nul doute une nymphe ou une autre créature mystique. Pourtant, elle est bel et bien réelle. Et sa beauté n'a d'égal que son innocence. Nous ne pouvons pas dire qu'elle est jolie et le sait. Elle en est tout simplement consciente, cependant, ne croyez pas que ma soeur puisse se servir de ce détail pour parvenir à ses fins? Ce serait un pur mensonge et ce serait très certainement contraire à tous ses principes. Certes, comme toutes jeunes filles de son âge, elle n'apprécie pas qu'on lui dise qu'elle est mignonne, mais elle n'est pas non plus très encline à ce qu'on lui répète qu'elle est terriblement belle. C'est un mot qui l'insupporte parfois, surtout si elle sait qu'elle est visée. Peut-on lui en vouloir? Déjà enfant, on ne cessait de lui répéter qu'elle était une « ravissante petite fille ». Bébé déjà les dames le disaient. Elle avait compris, pas besoin d'en faire une montagne non plus !

Petite, Discorde ressemblait déjà à une petite poupée de porcelaine, ses cheveux blond, que l'on faisait onduler, lui tombaient sur les épaules et descendaient jusqu'à sa mi-dos. Il arrivait parfois qu'on attache une mèche en hauteur à l'aide d'un petit ruban blanc, bleu ou rose. Tout dépendait de la tenue qu'elle portait. La tenue, parlons en justement ! Majoritairement du blanc, ou du bleu. Très souvent des robes dignes des petites princesses, avec des jupons dessous et de la dentelle. Notre père aurait sans doute fait n'importe quoi pour que sa cadette paraisse toujours à son avantage et ainsi tromper les gens qui pensaient que sa fille profitait de sa condition d'enfant muette.* Ses chaussures étaient très souvent des chaussures noires vernies. En été, lorsque nous nous rendions en Angleterre, elle portait des petites sandales noires ou blanches, ouvertes, de façon à ce qu'elle ne soit pas gênée par la chaleur qui était souvent étouffante.
Son visage, bien enfantin, était terriblement lisse et ses lèvres, biens roses déjà, donnaient l'impression d'être une gourmandise, un petit candy qui ne demandait qu'à être mangé. Ses yeux, d'un bleu saphir où se mêlaient quelques petites paillettes d'or étaient et sont toujours, terriblement envoûtants. On pourrait s'y noyer sans vouloir en ressortir.

L'adolescence n'a en rien changé son allure de poupée innocente faite de porcelaine, cependant, elle semble avoir rendue son visage légèrement plus froid, de sorte qu'aux premiers abords, elle parait bien une sacrée peste. Peut être l'est elle après tout. Certes, aujourd'hui, elle mesure un peu plus d'un mètre soixante-dix, mais sa peau est toujours aussi blanche, bien que demeurant depuis assez de temps en Angleterre, celle-ci ait prit un petit aspect doré. Comme l'exige cette période de la vie d'un être humain, Discorde a prit, comme toutes les autres jeunes filles, certaines formes qui l'avantagent suffisamment pour qu'elle soit constamment ennuyée par une personne du sexe opposé. Une Nymphe à coup sûr se dit on. Assez de sottises voyons ! Ce ne sont là que les vestiges sa nature qui ne la quittera jamais.
Fine, elle l'a toujours été, et visiblement, elle ne semble pas s'inquiéter de son poids.
Au niveau vestimentaire, Discorde est très souvent vêtue de robes plus ou moins légère et qui lui donnent un aspect de souveraine. C'est au point que l'on ne peut que l'envier de posséder pareilles parures. Il lui arrive cependant de porter des vêtements de notre époque, et ainsi se montrer en jean et débardeur, mais malgré cette tenue encore, les quelques rares bijoux qu'elle porte vous signalent bien qu'elle n'est pas du même milieu que vous. Prenons par exemple ce bracelet en argent en forme de serpent qui ne la quitte que lorsqu'elle se lave, ou encore de cette chaîne en argent dont le pendentif s'ouvre pour laisser place à des portraits que je n'ai pas eu l'occasion de voir.
En tant qu'élève, Discorde porte aussi l'uniforme de son école, ainsi que le blason de sa Maison.

* Je disais que Discorde est muette. C'est hélas la triste vérité. L'on ne peut que tenter d'imaginer cette voix cachée qui ne sortira jamais. Peut être aurait elle été grave, à moins qu'au contraire elle ne se serait identifiée à un claironnement de clochettes. Allez savoir. Sans doute aurait elle été belle à entendre, semblable au chant des sirènes... Nous ne le saurons hélas jamais, peut être n'est-ce pas plus mal ainsi...

Invité

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Epilogue

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◊ Pseudo

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Zina, Ash`, Disc`horde*

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◊ Âge :

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20 ans =D

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◊Avatar utilisé :

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Doutzen Kroes

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Cette question n'est plus d'actualité... XD

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◊comment le trouvez-vous ?:

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C'est moche, absolument affreux, c'est pour ça que je reste et que j'ai fait cette deuxième fiche XD

»

Hum... Une soif de connaissance inépuisable; un calme olympien; aucun doute n'est possible; tu iras à

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Serdaigle

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