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 L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June

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L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Empty
MessageSujet: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:22



    JUNE MEADOW PENDLE


    Jolie June a grandit, peut être un peu trop vite. Plongée dans l'alcool, les fêtes, la décadence et la débauche, elle se noie doucement dans tout ce qui l'entoure. Connue de tout Poudlard pour ne jamais être sobre, elle a trouvée refuge dans la boisson. June est une personne qui aime s'amuser et ne pas penser aux lendemains et à leurs conséquences. Jolie June c'est un mélange d'insolence et d'innocence. Toujours froide et distante, elle se refuse de s'attacher à quelqu'un de peur d'être abandonnée une nouvelle fois, de se retrouver seule, avec son coeur encore un peu plus brisé. En apparence très sure d'elle, ce n'est pas réellement vrai, cependant oui elle est d'accord pour dire qu'elle est la plus belle, et que personne ne peut la surpasser. Jolie June a eu de nombreuses conquêtes, mais l'amour l'a toujours fuit. Elle a finit par arrêter de vouloir le trouver, se disant que ce n'était sûrement pas pour une princesse désanchantée comme elle. Cependant, il ne faut pas se fier à ses allures de princesse, car elle renferme en elle un sacré caractère de petite fille pourrie gatée, arrogante et capricieuse jusqu'au bout. Habituée à toujours avoir tout ce qu'elle a pu vouloir dans son enfance, elle n'accepte pas qu'on lui refuse quelque chose. Disant toujours ce qu'elle pense, elle peut détester une personne d'un simple regard, et ne jamais vouloir alors faire sa connaissance. Une dernière chose, plus on dira quelque chose à notre Jolie June, plus elle fera le contraire. Plus on lui dira d'aimer, plus elle détestera.




    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Th_RACH4
    « Mon verre s'est__
    brisé comme un__
    éclat de rire. »




    Prélude.

    n o m;

    Pendle.

    p r é n o m;

    June Meadow

    s u r n o m;

    J. Ou Jolie June ou Junie

    a s c e n d a n c e;

    Sang Pur.

    n a t i o n a l i t é;

    Anglaise.




    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Favoritesin5


    « Les enfants ont
    plus besoin de
    modèles que de
    critiques. »




    Chapitre Premier.

    maison pressentie;

    Serdaigle ou Serpentard.

    année d'étude;

    Sixième année.

    baguette magique;

    La baguette de Junie est en bois d'ajonc. Est-ce en référence à son caractère obstiné, un clin d'oeil au fait qu'elle obtienne presque toujours ce qu'elle désire, que le bois symbolisant les chemins menant à un but la choisisse ?
    Mesurant vingt-neuf centimètres, et contenant un ventricule de dragon, Ollivander a déclaré cette baguette plus douée avec les sortilèges de métamorphose.

    animal;

    Non.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Th_rb3


    « Les blessures
    d'amitié sont
    inconsolables. »




    Chapitre Deuxième.

    épouvantard;

    Une photo de famille ou tout les membres disparaisse et ou Junie se retrouve seule.

    miroir du rised;

    Une belle famille pleine d'amour.

    patronus;

    Un loup.

    phobie;

    L'amour.

    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Ocicon53-1
    « Ce n'est pas
    l'impression de liberté
    qui est illusoire, c'est
    la liberté elle-même. »




    Épilogue.


    p s e u d o; Mia

    â g e; 14 ans

    a v a t a r; Rachel Bilson

    Comment avez vous découvert le forum ? Par aprtenariat

    Comment le trouvez vous ? Bien


Dernière édition par June M. Pendle le Jeu 25 Déc - 20:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:23


    chapitre 01. LA NAISSANCE DU MAL.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June 38 L'espérance est
    le seul bien de ceux
    qui n plus. »


      « MAMAAAAN ! MAMAN REVEILLES TOI ! MAMAN C'EST PLUS DROLE ! »

    Allongée sur un lit d’hopital se trouvait une jeune femme d’une beauté incomparable, de longs cheveux bruns, de grands yeux verts, des traits fins, et des lèvres si douce qu’on aurait eu envie de les embrasser jusqu'à la fin de la nuit des temps. Seulement cette jeune femme semblait endormie, et a côté d’elle se trouvait sa réplique miniature, âgée de seulement cinq ans, la petite June pleurait sa mère décédée il y a quelques minutes, n’ayant pas survécue a son cancer. Pleurant a chaude larmes, la jeune Junie refusait de lâcher la main droite de sa mère qu’elle tenait étroitement dans les deux siennes. En enlevant parfois une pour essuyer ses pleurs, cette petite bouille dans le temps souriante, n’affichait plus aucun traits joyeux, mais au contraire, c’était comme si tout son monde venait de s’écroulée autour d’elle. Qu’est ce qu’elle allait devenir ? Sans sa mère, elle n’avait plus de maison, plus de famille, plus rien, son monde tout entier, venait de s’endormir a jamais, avec sa mère. Restant des heures entières a côté de sa mère, elle fut bientôt obligée de quittée la salle de force, fermant la porte, renfermant le corps de sa mère a tout jamais. La jeune infirmière, la porta alors dans ses bras, et Junie mit doucement sa tête sur l’épaule de celle-ci, ne cessant pas pour autant de pleurer. Parfois il parait que déverser sa peine, aide a guérir de son chagrin. S’agrippant au corps de la belle blonde, June se sentit balladée dans divers couloirs, avant d’attérir dans un couloir. Regardant de ses grands yeux verts la jeune femme qui l’avait emmenée, elle reconnue alors tout de suite Caitlin, qui était la jeune infirmière qui s’était occupée d’elle durant ces derniers mois, vu que sa mere souffrante n’avait malheureusement pas pu assumer son role. Silence. Fixant l’infirmière de ses grands yeux verts humide, June restait silencieuse, et face a ce douloureux mois de Juin, elle avait comme qui dirais perdue la parole. Restant silencieuse, face a la gamine en pleurs, il n’y avait de toute façon rien a dire. June était orpheline, son père ne l’ayant jamais reconnue, il n’y avait aucune autre alternative que celui de l’orphelinat, ou bien des parents de sa mère. Elle ne les connaisaient pas, et ne leur avait jamais parlés, car ceci n’avait jamais acceptée que leur fille arrêtent ses études pour June. Silence. Après de longues minutes mortuaires a s’observer, une conversation finit par pointer le bout de son nez. Silence.

      « June, je suis désolée pour ta maman… »
      « Pourquoi Caitlin ? Les anges ne sont pas gentils, je les detestent. »
      « Mais non, ne dis pas ça, tu verras, ils t’apporteront des moments heureux dans ta vie, même si tu as l’impression que tu ne te remettras jamais du fait d’avoir perdu ta maman. »
      « Et je vais ou maintenant ? Je ne connais pas mes grands parents. »
      « A l’orphelinat Junie, c’est la que vont les enfants qui n’ont plus de parents. »

    Et là ce fut le choc ultime pour la jeune June. Elle qui avait pris l’habitude de vivre dans un palace, avec de l’espace, des affaires, et autres choses par milliers. Tout n’était que démesure, et elle allait se retrouvée dans cet endroit, ou la pauvreté était de mise. Comment allait elle s’en remettre ? Elle n’en n’avait aucune idée, et déjà cette idée de se mélangée aux autres, lui travaillait avec force l’esprit. Silence. Et déjà a cette âge, elle se prennait pour une petite princesse. Restant assise face a Caitlin, elle lui jeta tout son dégout a la figure rien qu’a l’aide de l’un de ses regards percants, comme si, après tout s’était de sa faute a elle, cette maudite infirmière, que sa douce, sa magnifique maman, venait de partir au Paradis, si encore faut il qu’il existe. Alors que Caitlin tenta en vain de prendre June dans ses bras pour la consoler, celle-ci commenca alors a la frapper. Hurlant que tout était de sa faute, et qu’elle n’avait pas su soignée la maladie de sa mère. Affolée Caitlin, appela alors l’assistance publique, et June, fut enfermée dans une pièce, ou elle n’avait que une feuille et trois crayons de couleurs pour distraction. C’était inimaginable pour la belle princesse de devoir allée dans cet endroit ou seuls les pauvres, et les gens sans rien se retrouvent. Alors qu’elle, elle appartenait quand même a la famille Benetton, qui était une très grande famille dans le monde de la magique. Seulement sa mère, n’avait jamais aimer ce monde, qu’elle idiote sur ce coup, et la jeune Junie n’y connaissait donc rien, et ne put riposter.

    Il se passa peut être un heure, ou deux, avant qu’une assistante sociale vienne chercher la petite June. Seulement, ce n’est pas parce qu’elle n’avait que cinq ans a l’époque, qu’elle n’était pas déjà affublée d’un sacré caractère. Silence. La lutte fut difficile, et dans l’enchainement des choses, Junie griffa a plusieurs reprises toutes personnes qui tentaient de l’approcher, et bien sur, toujours au visage, car c’est la que cela fait le plus mal. Pleurant et hurlant de colère en même temps, elle ne fut problème que l’espace de quelques minutes car ce n’est pas avec son petit gabaris qu’elle pouvait lutter équitablement contre des adultes. Silence. Dans la voiture, la jeune Pendle garda le silence, ne prononcant pas un mot, pas un son. Comme si elle était devenue muette, et elle n’accordait d’importance a rien. Gardant précieusement dans sa main, le médaillon de sa mère, qu’elle avait prit avant qu’on ne la sorte de la chambre. Le seul souvenir de sa douce mère. Combien de temps le trajet a-t-il durer ? Aucune idée. Il faut avouer que June avait bien vite perdue la notion du temps, avec la matinée incensée qu’elle venait de vivre. Silence. Arrivée devant la batisse, un haut le cœur lui survennue. C’était sale, remplit de personnes sales également, et elle avec ses beaux vêtements de marque, qu’est ce qui allait lui arriver. Jolie June va souffrir. Entrant a reculons dans l’affreuse batisse, elle tira les cheveux d’une fille, a peine dix minutes après être arrivée, et alors que tout l’orphelinat, du moins les enfants, se mettaient en cercle autour des deux filletes, une bagarre verbale commencait.


      « Aiie. Tu m’as tirée les cheveux, tu n’es pas gentille ! »
      « Et alors ? Etre gentil c’est pour les faibles, comme toi, sans vie, sans parents, sans argent, sans rien. »
      « Et toi ? Si tu avais quelque chose tu ne serais pas la. »

    Il n’en fallut pas plus a la jeune Pendle pour qu’elle empoigne de nouveau les cheveux de la blonde, pour tirer dessus avec beaucoup plus de violence et de haine que la première fois. Pour qui est ce qu’elle se prenait pour lui parler comme cela ? On se le demande. Silence. La grosse surveillante de l’orphelinat vint alors assez rapidement les séparer. Alors que June avait une griffure profonde au niveau de la joue droite, son adversaire, elle, avait le début d’un cocard sur son œil droit. Bien fait. Tirée par la manche, jusque dans le bureau de la surveillante, elle fut conviée a s’asseoir. L’endroit était aussi répugnant que le reste de l’orphelinat, et June, fit une grimace lorsqu’elle posa ses fesses sur la chaise que lui pointait du doigt, cette satanée surveillante. Mme Guelton. June se souviendrais surement toute sa vie, de cette personne, tellement celle-ci avait pu la répugnée en a peine quelques instants. Car oui, la suite, vous apprendra que par chance June, n’a pas passer une éternité dans cet affreux taudis. Enfin, quoi qu’il en soit, Junie posait ses yeux un peu partout. Le vert émeraude, cherchant a tout prix une issue a cette situation qui devenait de plus en plus chaotique pour cette dernière. Elle avait perdue sa mère, et en plus, elle perdait en même temps ce statut de privilégiée qu’elle avait pu acquérir en étant issue d’une famille aisément riche.

    Refusant de boire le jus d’orange que lui proposait Mme Guelton, elle resta muette, assise avec énormément de classe dans ce taudis qui en manquait cruellement. Comme quoi on ne peut échappée a son milieu et a son éducation, car déjà, a peine cinq ans, June avait déjà cette facheuse habitude a prendre n’importe qui de haut. Silence. Regardant pourtant avec un certain interet ce que faisait la surveillante, elle appercue un dossier avec son nom, tout fin, tout petit, qui partit dans un carton ou l’inscription « Affaires classées » étaient inscrite. Alors on allait l’adoptée ? Ils allaient la laisser partir de cet enfer ? Espoir. Espoir. Elle ne voulue cependant pas se faire d’idées un peu trop vite, et c’est pour cela qu’elle resta muette, sans chercher a savoir, a ce qu’on lui donne des explications. Elle savait pertinement qu’elles viendraient a elle, d’elles même. Silence.


      « June, tu vas être ravie en apprenant que tu ne vas pas restée ici. On a retrouvé tes grands parents, qui sont en route, pour venir te chercher, ne voulant pas te laisser ici, et te donner le reste de ton eductation eux même. Ils n’avaient pas été prévenus de la mort de ta maman. »
      « Parfait. Je n’aime pas cet endroit Madame, il est sale, et les filles ici, sont toutes des idiotes. »
      « Tu verras que dans la vie, on doit souvent faire face a des idiotes et que pour certaine personne tu seras une parfaite imbécile, même si toi de ton côté tu trouves que tu ne l’es pas. La vie nous réserve des surprise June, et ne pense pas qu’avec l’argent de ta famille tu aurais une vie heureuse, ce serait te trompée. »
      « L’argent ne fait pas le bonheur Madame, mais il y contribut. Et puis, de toute façon, vous ne savez pas de quoi vous parlez. Je ne suis pas une idiote, je suis une Pendle. Et nous avons toujours tout ce que nous voulons. Alors que vous, vous vous occupez de sombres idiotes. »

    Sautant de la chaise, la jeune June se dirigea alors tout de suite vers la sortie de l’orphelinat. N’ayant rien a emporter de cet endroit miteux qu’elle souhaite oublier plus qu’autre chose. Elle laissait son regard vagabonder un peu partout, lorsqu’elle vit une belle voiture noire, se garer juste devant l’immeuble. Deux personnes d’un certain âge, mais avec toujours cette classe en eux, se dirigèrent alors très vite vers la petite fille. La femme serra June dans ses bras, et se mit alors a pleurer, quand au grand père, lui, lui tapotait l’épaule, en signe de réconfortement. Donnant de l’argent a la surveillante pour les avoir appeler, celle-ci notifia bien qu’elle était heureuse de se débarasser de June et de son mauvais caractère. Rentrant de nouveau a l’interieur, elle laissa donc la petite famille dehors. L’heure des présentations peut être ? Non. Cela n’avait pas l’air d’être au rendez vous. Silence. Mettant ses petits bras autour du cou de la femme, elle se dégagea ensuite doucement, pour regarder tour a tour, sa grand-mère et son grand-père. Ils avaient tous les deux les yeux aussi verts que les siens. Un doux sourire s’afficha sur le visage angélique de cette petite peste naissante, puis elle prit ensuite la parole.

      « Je… »
      « Ne t’en fais pas June, nous sommes là maintenant. Tu n’auras plus jamais a aller dans des endroits aussi ingrats de ta personne. Tu nous a beaucoup manqués, nous n’avons eu de tes nouvelles que par cartes de la part de ta mère, mais jamais nous n’avons eu la chance de voir ta petite frimousse en vrai. »
      « Maman disait que vous étiez fachés qu’elle est arrêtée ses études pour moi… »
      « Au début oui, mais après avec le temps on pardonne, et quoi qu’elle ait pu penser, elle est toujours restée notre Lei chérie… Tu lui ressembles tellement. »
      « Et on va ou maintenant ? Grand-mère ? Grand-père ? »
      « Nous sommes invités chez les Jeeves pour le déjeuner, ils ont tous hâtes de voir la jolie petite héritière des Pendle. Allons, ne soyons pas en retard. »

    Acquiécant d’un léger signe de tête, June, se retrouvait peu a peu dans son élément. Les invitations de part et d’autre, tellement qu’on était obligée d’en refuser, car on ne peut aller a deux endroits en même temps. Les personnes qui regardent les enfants comme June, comme la nouvelle génération de leur famille, et prédisant leur avenir. Les mariant avant qu’ils ne sachent ce qu’est vraiment l’amour. Silence. Entrant dans la voiture, elle trouva a l’interieur une magnifique robe blanche, qu’elle enfila tout de suite. Lui arrivant au milieu des cuisses, avec un ruban noir, au niveau de ses hanches, et des manches chauve souris. Sa grand-mère qui était montée a l’arrière avec celle-ci, lui recoiffa ses long cheveux ébène et bouclés. Elle était fin prête a entrer dans le monde de ses grands-parents, si proche de celui qu’elle avait avec sa mère. On ne se refait pas. On échappe pas a son destin. Nous ne sommes que décadence.
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:23

    chapitre 02. LE DESANCHENTEMENT DE LA PRINCESSE.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Ohpaintbrush_set27-015
    « Infiniment plus que tout :
    c'est le nom enfantin de
    l'amour, son petit nom, son
    nom secret. »

      « Lawliet, embrasse moi. »

    Il n’était pas rare que notre Jolie June, est parfois des envies comme celle-ci. La semaine dernière, elle avait demandé à Lawliet de la faire fumer, et depuis, elle fumait tous les jours. Quelques années étaient passer depuis qu’elle était allée pour la première fois chez les Jeeves, et qu’elle avait fait la rencontre de leur fils, Lawliet. Âgée à présent de dix ans, elle était devenue encore plus belle, et son jeune ami ne pouvait absolument rien lui refuser. Cependant, il avait l’air d’hésiter pour une fois. Pourquoi ? Tout le monde savait très bien que ces deux là finiraient par se marier un jour où l’autre, alors pourquoi il ne voulait pas l’embrasser. Sortant une cigarette comme lui, elle la cala entre ses lèvres, et l’alluma en silence. Posant ses yeux verts d’eau sur le visage sombre de son ami d’enfance, elle attendait qu’il se décide à l’embrasser ou bien qu’il dise au moins quelque chose.

      « Je ne peux pas Junie. »
      « Mais pourquoi ? Si tu le peux, je le veux. Embrasse moi Lawliet. »
      « Non. C’est impossible. »
      « Mais pourquoi ? Je suis si moche que ça, tu ne m’aimes plus hein ? Pourquoi tu ne veux pas m’embrasser ? Pourquoi Lawliet ? »

    Les larmes commençaient alors à s’échappées doucement des yeux humides de la jeune Pendle, qui se sentait toujours énormément vexée lorsqu’on lui refusait quelque chose. D’autant plus que cette fois ci, cela venait de la part de Lawliet, la personne qui s’était toujours plier en quatre pour elle. Aujourd’hui on ne sait pourquoi il lui refusait un baiser, alors que souvent il lui parlait de ses projets d’avenir. Qu’est ce qu’il se passait ? Pourquoi il ne voulait pas ? Junie ne comprenait plus, et cela l’agaçait au plus au point, il faut l’avouer. Tirant sur sa cigarette, seuls ses sanglots venaient briser le silence hurlant qui s’installait entre eux. Jamais, ils n’avaient eu à vivre une situation pareille. C’était June et Lawliet, et on ne pouvait imaginer les séparer, pourtant là, c’est lui-même qui mettait un fossé entre eux. Pourquoi ? Essuyant doucement ses yeux, elle fixa Lawliet, jusqu'à ce que celui-ci ait le courage de croiser son regard. Lorsque le marron croisa le vert, ils se retrouvèrent tous les deux, dans les bras l’un de l’autre. Serrant June contre lui, il lui caressait les cheveux, et lui murmurait de douces paroles dans le creux de l’oreille. Il était le seul qui savait apaisée ses chagrins d’enfant. Resserrant ses bras autour du cou de Law, elle renifla un instant, avant de plonger de nouveau son regard dans le sien.

    Il faut croire qu’il ne réussit pas à résister au charme de la jolie brune, haute comme trois pommes, plus longtemps, puisque posant l’une de ses mains sur ses hanches, et l’autre dans ses longs cheveux d’un noir de jais. Il se pencha doucement, alors qu’elle se mettait sur la pointe des pieds. Bientôt leurs lèvres entrèrent en contact, et ce fut un moment magique aussi bien pour notre Jolie June, que pour Lawliet. Profitant de ce moment, ils le prolongèrent de quelques minutes, puis résignés, se détachèrent en douceur. Dans l’effervescence de ce premier baiser, June ne remarqua pas tout de suite l’air soucieux qui se peignait sur le visage de son ami. Mais qu’est ce qu’il avait donc ? Elle ne l’avait jamais vu comme ça, et c’était assez étrange. Ils étaient comme des miroirs, des jumeaux. Rejetant ses cheveux en arrière, elle le regarda doucement, puis sortit une nouvelle cigarette pour elle, et en offrit une à Lawliet, qui l’a prit sans rechigner un seul instant. Il y avait quelque chose qui n’allait pas, ça June en était persuadée, oui mais quoi ? Là était la véritable question. Marchant quelques instants, elle prit place sur un banc, et invita Lawliet à la suivre, ce qu’il fit sur le champs.


      « Tu ne m’aimes plus ? »
      « Si June. Mais… Je ne peux pas t’embrasser, tout ça c’est compliqué, et tu n’as pas à le savoir. La seule chose c’est que toi et moi ce n’est pas possible. Il faudra se contenter d’être amis. »
      « Mais je ne veux pas ! Je te veux toi, embrasse moi maintenant. »

    Se rapprochant du jeune garçon, elle se blottit alors doucement. Elle avait une impression de déchirure au niveau de son cœur. Elle avait mal, presque autant que lorsque sa mère l’avait quittée pour aller dans cet endroit, que l’on nomme communément « Paradis. ». Sa tête posée sur l’épaule de son ami, elle resta silencieuse un moment. Dire que c’était sûrement le dernier moment qu’elle passait en sa compagnie, avant un bon nombre d’année. Elle avait du mal à y croire. Fermant doucement les yeux, elle cacha au monde entier, ses iris verts. Lorsqu’elle les rouvrit, la nuit était tombée, et Lawliet, la portait jusque chez lui, ses grands-parents attendait devant l’entrée. Les parents de Lawliet de l’autre côté. Les visages fermés de ce comité regardait le prince charmant, ramenée sa princesse. Frottant doucement ses yeux, elle suppliait silencieusement Lawliet de faire demi tour, de ne pas les laisser les séparer. Mais rien ne se fit. La reposant doucement sur le sol, elle se jeta dans ses bras, abandonnée dans les siens.

      « Law, dis moi la vérité. »
      « La vérité Junie ? La vérité c’est qu’on ne se verra plus jamais, et je ne supporte pas cette idée. Mes parents ne veulent plus qu’on se voient, ils se sont disputés avec tes grands-parents je crois… Et voilà. Je ne voulais pas t’embrasser, parce que maintenant, ce souvenir restera dans mon esprit, et je ne pourrais plus jamais le faire… C’est dur Junie. »
      « Mais Law, on est pas obligé de les écoutés tu sais. On se verra en cachette, à Poudlard. L’année prochaine, on part loin d’eux, loin de tout ça et on sera heureux tous les deux. »
      « Non Junie, ce n’est pas si facile. Mes parents ont pris les devants, et je pars pour Salem, aux Etats-Unis… Non ne pleure pas June… S’il te plait. Est-ce que tu crois en moi ? Tu as confiance en moi ? »
      « Bien sûr que oui, mais qu’est ce que je vais faire sans toi… »
      « Sois patiente. Un jour l’école sera terminée, ou bien mes parents et tes grands-parents, ne pourront plus nous empêcher de nous voir, de nous aimer. Hein tu m’aimes June ? »
      « Oui… Je t’aime Lawliet. »

    Les adultes n’ont jamais comprit les enfants. C’est une certitude, sinon ils auraient compris qu’il n’aurait jamais, je dis bien ô grand jamais, séparer Junie de son Lawliet. Pleurant de nouveau, Lawliet s’appliquait à la calmer, quand Junie fut arrachée à lui par ses grands-parents qui s’évertuaient à la faire entrer de force dans la limousine garée juste devant. Hurlant comme jamais, les larmes inondant ses joues, elle s’accrochaient tant bien que mal à son ami qu’elle ne voulait pas quitter. Sans lui, elle n’y arriverait pas, elle en était persuadée. Quand ses mains lâchèrent enfin, elle redoubla ses pleurs, et vit avec désespoir Lawliet traîné ses parents dans l’entrée du grand appartement.

      « LAWLIIIIIIIET ! NON ! LACHEZ MOI, JE VEUX RESTER AVEC LUI ! »
      « Je t’aime Junie… »

    La porte se referma, la voiture démarra. A l’arrière, Jolie June pleurait en silence. C’était la fin d’une époque heureuse, le début de la débauche, le commencent de la fin. Elle perdait de nouveau une personne qu’elle aimait, et son cœur se ferma pour de bon. Finit l’innocence de la jolie June. Elle se teinta les cheveux en blonds, et ne parla plus à personne durant de longs mois. N’adressant plus jamais la parole à ses grands-parents, elle ne se rendit même pas à leurs enterrements lorsqu’ils furent tués dans des circonstances mystérieuses. Libérée de leurs emprise, elle se laissa coulée, se disant que de toute façon, rien de lui rendrait sa mère, et rien ne lui rendrait son Lawliet.
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:24

    chapitre 03. LA RETOMBEE EN ENFANCE.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Mel3
    « Le manque d'amour
    est la plus grande
    pauvreté.


      Maman, ma si douce maman,


    Pourquoi m'as tu laissée ? Sans toi, depuis je coule. J'aurais tant aimée que tu ne meurs pas de ce cancer, que tu restes avec moi. J'ai besoin de toi, comme chaque enfant à besoin de sa mère. Tu sais, tu me verrais tu ne serais pas vraiment fière de la personne que je suis devenue... Toi qui avait toujours eu des millions de projets pour mon avenir. J'en rit encore, lorsqu'un jour on décidait que je serais avocate, puis celui d'après une simple vétérinaire. A maintenant quatorze ans, je n'ai toujours aucune idée de ce que je serais plus tard, quelle femme je deviendrais... J'ai tellement besoin de toi, de tes mots si doux et réconfortants, ainsi que de tes caresses apaisantes, qui ont toujours su calmer mes chagrins d'enfants dans le passé...

    Tu sais, je crois que si tu me voyais à présent tu ne serais même pas capable de me reconnaître. Je ne suis plus cette brune que tu as connue. Mes cheveux si long dans mon enfance, sont à présent coupé dans un carré long et d'un jaune paille. Ils ne sont pas bien entretenus car je ne prend jamais le temps et le soin de les chérir comme tu pouvais le faire avec ta chevelure si douce et soyeuse. Je garde ces grands yeux d'un bleu électrique que tu m'as offert comme héritage, mais plus aucunes étoiles ne brillent à l'interieur. Ma si douce maman, si tu savais comme je suis triste, complètement perdue... J'ai l'impression que même si mes paupières sont ouvertes, et mes yeux attentifs, je ne suis plus capable de rien voir du tout. Ma peau est pâle et ma bouche n'ébauche plus aucun sourires. Mais pourquoi est ce que je m'efforcerais à en faire ? Hein maman ? Depuis que tu m'as abandonnée, que l'on m'a retiré Lawliet, je n'ai plus de raisons d'être heureuse, de sourire et de rire. Tout ça ce n'est que du passé. Tu entends ? Du passé, un sombre passé.

    Tu ne connais pas Lawliet ? Il est... Oh maman, je ne sais pas ce qu'il est mais tout ce que je peux te dire c'est que je l'aime et que je l'aimerais toujours et ceux même si je ne l'ai plus vu depuis cinq longues années à présent. Il est mon ami, il est mon premier amoureux... Tu sais c'est avec lui que j'ai connu mon premier baiser, que j'ai fumer ma première cigarette, et c'est aussi avec Lawliet que j'ai bu mon premier verre de whisky. Je sais ce que tu me dirais... L'alcool n'ait pas convenable pour une jeune fille comme moi, et qu'il a des milliers d'autres choses à découvrir qui seraient moins néfastes pour ma santé. Mais ma si jolie maman, la vie ne m'a apporter que chagrin et je n'ai pu me consoler que dans le fond de l'un de mes nombreux verres. Tu sais je ne suis plus qu'une triste épave qui se détruit à petit feu, un peu plus chaque secondes. Mes cernes se creuses de plus en plus, et souvent mes cheveux sont en battailles couvert de sueurs, et mon teint cireux, à cause d'un trop plein d'alcool. Je vomit comme je respire, et j'ai la gueule de bois, pratiquement tous les matin. C'est un peu la vertu contre le vice. Mais contre l'envie d'être une fille respectable, j'ai choisit le vice, et maintenant que j'y suis plonger il sera impossible que je m'en sorte...

    Je sais que tu m'as toujours connue battante, mais tu sais, on finit toujours par abandonner lorsqu'on sait que la partie est perdue d'avance. Je ne crois plus en rien, ni au bonheur, ni à la chance, ni à la vie, et encore moins à l'amour ou à l'amitié. Ma si douce maman, je chérie le moment ou je retrouverais, tu me manques tellement. Il est cruel de la part des anges de priver un enfant de sa mère. Elle lui donne la vie, il en va de soi, qu'elle doit resté auprès de cet enfant qu'elle aime, pour l'aider à s'élever, à voler de propres ailes. Tu n'es pas d'accord ? Bien sûr que si ma maman que tu es du même avis que moi...

    Il se fait tard, et je suis sur cette lettre, depuis je ne sais pas combien d'heure, mais cela me fait tellement du bien, de reprendre un semblant de contact avec toi... Je t'aime tellement pourquoi t'as -t-on arrachée à moi ? Ils n'avaient pas le droit ? Tu m'entends ?! PAS LE DROIT. JE LES HAIT.

    Les anges ne valent pas la peine d'être mis sur un pied d'estal, ils sont la cause de ma tristesse, de mon malheur et de ma solitude. Ils ont contribué à l'instalation du malheur et de chagrin dans ma vie, et j'ai l'impression que ce sera comme ça pour la vie. Je hais les anges, qu'ils aillent se faire mettre, qu'ils brulent en enfer, que jamais ils ne t'atteignent au paradis, ou à présent tu reposes en paix, loin de ce monde cruel, dans lequel je ne suis qu'une pauvre prisonnière. Tu sais ma si jolie maman... D'un côté je t'envie, tu n'as plus à souffrir, à te dire que tu as ratée ta vie, et que tu n'es pas celle que tu as un jour espérer devenir. Non tout cela est finit pour toi, tu ne penses plus, et pour ton âme c'est beaucoup mieux ainsi. Enfin elle a trouvée le repos qu'elle à tant méritée.

      Je t'aime pour la vie.
      Ta fille, June.

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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:24

    chapitre 04. JOLIE JUNE N'EST PLUS SEULE.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Gemma6
    « Dieu a donné une
    soeur au souvenir
    et il l'a appelée
    espérance. »







    Jolie June est à présent en sixième année. Ses cheveux blonds et terne, lui collant à son visage, un verre de whisky dans sa main droite, une cigarette dans sa main gauche. Elle profitait de l'une des rares sorties à Pré-au-Lard pour savourer sa solitude autour d'un verre. Elle avait faussée compagnie à Logan et les autres, il y avait maintenant une heure ou deux. C'était le cinquième verre vide qui venait s'éparpiller sur le coin du bar qu'elle occupait. La tête qui tourne, une subite envie de faire n'importe quoi et un mal fou à tenir sur ses jambes. Passant une main dans ses cheveux en désordre, comme à son habitude. June avait cette beauté naturelle qui l'animait, et elle ne faisait pratiquement jamais rien pour se mettre en valeur. Pour tout dire, lorsqu'elle buvait, c'est à dire pratiquement tout le temps, elle était tellement dans un état catastrophique qu'elle ne pouvait pas faire attention à l'allure de ses cheveux ou bien si son rouge à lèvre était toujours présent sur ses lèvres ou s'il fallait en remettre. Ne contrôlant plus réellement ses pensées, elle se laissait voguer, son esprit la martelant de coups qui la faisaient souffrir un peu plus à chaque fois. Pourtant, son regard n'était pas encore très vague, et elle apperçu une jolie blonde descendre des escaliers qui menaient aux chambre d'hotel que possédait le bar. Cette jeune fille lui disait étrangement quelque chose. Plissant ses yeux bleus pour essayer de mieux la voir, elle ouvrit bientôt grand l bouche, ne croyant pas ce qu'elle voyait. C'était... Elle. Enfin son portrait craché. Restant encore quelques secondes dans cet état de choc, elle finit par essayer de se lever de son tabouret.

    Faisant glisser ses fesses de la plate forme, elle sentit ses jambes tremblées et ne pas la soutenir. Se raccrochant au bar, elle vit le barman, qui avait l'habitude de voir Jolie June dans cet état lui lancer un regard compatissant, en rangeant les verres. Prenant l'argent qu'elle avait posée en début de consomation sur la table, il fit ensuite le tour du bar pour lui mettre la monnaie dans son sac. Portant ensuite June, il allait l'installer a une table en retrait dans le fond de la salle pour qu'elle puisse décuver en paix, mais celle ci protestait avec fermeté. Pointant la blonde qui commandait un jus d'orange, le barman, Léo, fut également frapper de la ressemblance flagrante des deux adolescente de seize ans à peine, et l'ammena jusqu'a celle-ci. Toujours dans les bras du barman, elle pointa la belle inconnue de son index droit, ses yeux bleus mélancolique plongées dans ses jumeaux en face d'elle. Elle entrouvrit ses lèvres sèches.


      « Tu.. T'es... t'es qui toi ? »
      « Bonjour... Euh, désolé, je suis le barman, Léo. Elle tenait absolument à venir te voir, elle est de ta famille ? Ta jumelle ? Tu sais il ne faut pas faire attention si elle ne te reconnait pas, elle a parfois des pertes de mémoires à cause de ses nombreuses cuites. Ca lui reviendra lorsqu'elle aura décuver. »

    Posant June à côté de son portrait craché, il s'éloigna ensuite, laissant les deux jeune femmes entre elles. June resta un moment silencieuse, pointant parfois le visage de la jolie blonde, puis le sien l'instant d'après. Elle avait du mal à réaliser ce qu'il se passait devant ses yeux, et il faut avouer que l'alcool n'aidait en rien. Serrant sa tête entre ses mains, June se vroyait victime de son imagination, mais ce n'était pas possible. Non. Elle était belle et bien réelle, elle était comme elle, et se trouvait sur le tabouret d'a côté. Plongeant ses yeux tristes dans ceux de sa soeur jumelle, elle avala avec difficulté sa salive. Jamais, je dis bien ô grand jamais, elle n'avait encore été dans une position aussi délicate et meurtrière à la fois. Se dandinant sur sa chaise, elle ne savait pas du tout quoi faire, et encore pire, pas quoi dire. C'est vrai après tout comment est-t-on censer réagir à la découverte de son propre sosie ? C'est une bonne question.


      « June. »
      « Alice. »
      « Al... Alors toi.. tu... enfin.... »
      « Oui... faut croire... Euh, June, ça va ? Tu te sens bien ? »

    Non. June commençait à avoir la tête qui tournait de plus en plus, et la salive qui s'accumule à l'interieur de sa bouche. Secouant la tête négativement, elle posa sa main sur l'épaule de la soi-disante Alice. L'implorant du regard, son chagrin faisant surface, elle comença à se mettre à sangloter. Aidée par sa toute nouvelle jumelle, ell se hissa jusqu'aux toilettes pour dame. Se laissant tomber devant l'une des cuvettes, elle sentit Alice lui tenir les cheveux, fourant sa tête à l'interieur sans ménagement, elle attendit quelques secondes, puis sans se forcer, elle sentit un reflus d'alcool remonter à sa gorge. Un. Deux. Trois. Attention à vous. Elle vomit, encore et encore, jusqu'a ce qu'elle n'arrive plus à rien sortir. Le front couvert de sueurs froides, elle s'extirpa de la cuvette pour s'appuyer contre le mur. Presqu'allongée par terre, ses cheveux collait son visage dans un mélange de sueur et de pleurs.

    Ne faisant même plus attention à Alice qui se trouvait à ses côtés, en la regardant avec un air compatissant sur son visage. Pourquoi est ce que tout allait si mal ? Pourquoi rien ne se passait comme elle le désirait ? Pourquoi elle n'arrivait pas à être heureuse, et qu'a chaque fois elle apprenait de nouveaux secrets de familles qui la faisait chavirer, la faisaient sombrer. A l'image du Titanic, Jolie June devait être la pire épave humaine encore en vie qui peut bien exister sur cette Terre. Fermant doucement ses yeux, elle essaya de calmer sa respiration qui se faisait de plus en plus saccadé, secoué parfois de petits hocquets discret. Frottant ses yeux à l'aide de ses mains tremblantes, elle finit soudain par enfouir son visage sur les jambes d'Alice qui s'était assise auprès d'elle en silence. Sanglotant comme une petite fille qui avait un gros chagrin, elle sentit alors la main de sa jumelle se ballader dans ses cheveux. Peu à peu, ces gestes attendrissants que lui accordait sa mère lorsqu'elle était encore en vie, eurent le don de la calmer, lui calmant aussi son ivresse. Reniflant nonchalament, elle passa sa langue sur ses lèvres pour les humidifier, puis releva le regard vers son Alice.



      « Qu'est ce que j'ai fait ? »
      « Quoi ? Mais non June... Voyons, tu sais c'est pas de notre faute. Je sais pas ce que tu as vécue avant, et notre rencontre est dure à encaisser pour toutes les deux. Mais ma Jolie June ce qu'il faut se dire c'est que maintenant on est ensemble, qu'on ignore plus la présence de l'autre. Je sais que c'est dure et que t'es malheureuse, mais je serais la pour toi maintenant, je t'en fais la promesse. Ce sera pas facile, mais on se serrera les coudes, d'accord ? »
      « Oui... Maman est morte. Lawliet est partit. Nos grands-parents sont des ordures, et je suis bien contente qu'il brûlent en enfer. Je les hais, j'aurais voulue les tuer moi-même... Je ne comprend pas, et je voudrais qu'il soit heureux, mais il n'a pas compris que tant qu'il s'accrochera à moi il ne pourra pas l'être. C'est un imbécile. »
      « Oui c'est un imbécile, mais un imbécile duquel tu ne pourrais pas te passer, parce que si il n'était pas là, alors tu aurais sombrer depuis des siècles. »

    Touché coulé. Ma Jolie June il faut croire que tout ce que l'on raconte sur ce lien qu'il existe entre les jumeaux est vrai. Regarde là, cette Alice, celle qui deviendra ton Alice, et qui l'est déjà inconsciement. Trois mots, et elle t'a cerner. Mais il fallait qu'elle soit réaliste, Alice avait raison. Le tout était simplement d'y croire un peu soi-même et le reste devrait suivre.

    La suite de la soirée se passa tranquillement, restant dans les toilettes, assises par terre, blottie l'une contre l'autre, elles se racontèrent leur parcours mutuel, et se promirent de toujours être là l'une pour l'autre. Alice. Cette Alice. Son Alice. Elle lui ouvrait les portes du monde des merveilles, ce pays ou June d'ordinaire ne mettait jamais les pieds de peur de ne pas être à sa place. Elle dévoulait à sa jumelle ses pires chimères, celles qu'elle n'avait jamais avouer à personne... Mais à présent, elle comprennait que quoi qu'il se passe, quoi qu'il advienne, et quoi qu'elle puisse faire, contre tout, elle ne serait plus seule, mais deux. Alice et June.

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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:25

    chapitre 05. JUNE MEADOW PENDLE.


    L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June SashaP14
    « Le whisky est le
    cognac du con. »








Fêtes . Champagne . Electro . Vodka .
Camel . American Apparel . Eiffel tower .
California . Trocadero . Londres . Marlboro .
Queen . Alcool . Slim . Rire . Friends .
Poppers . Rails . Shopping . Money . Whisky .
Ivresse . Décadence . Débauche .


Dernière édition par June M. Pendle le Jeu 25 Déc - 20:03, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyJeu 25 Déc - 19:51

Terminé ! Very Happy
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Maxine Stevens
g r y f f o n d o r



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La pensine
année d'étude: septième année
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyVen 26 Déc - 13:26


    Tout d'abord Bonjour et Bienvenue parmi nous ! Very Happy

    Alors, nous nous sommes concertées avec Velvet, et nous sommes tombées d'accord : ta fiche est pas mal; mais il y a quelques points que tu vas devoir régler si tu veux pouvoir être validée.

    A commencer par une bonne et assidue relecture, car les fautes d'orthographe et de grammaire sont en trop grand nombre tout au long de ta fiche. Je te conseille Bonpatron comme correcteur et surtout un maximum d'attention.
    Ensuite, tu dois revoir tes dialogues et la chronologie; certaines choses sont un peu surréalistes (il est curieux de voir une fillette de 10 ans avec un petit ami en train de fumer; je sais que le monde va mal mais tout de même ! ^^)
    Pour finir, essaye de plus ancrer ton personnage dans le contexte de SM.

    Voilà, il me semble que j'ai tout dit, en espérant que ta motivation sera toujours bien présente !

    edit de Velvet : Bienvenue et bonne chance pour la reprise de ta fiche Wink. Je me permet d'ajouter que l'avatar est déjà réservé pour un poste vacant, il faut changer.. Et d'ailleurs, l'avatar doit être crédité dans ton profil à '©️ avatar'
    Voilà =)
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Drago L. Malfoy
s e r p e n t a r d
Drago L. Malfoy


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Date d'inscription : 24/12/2008

La pensine
année d'étude: Quatrième année
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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June EmptyLun 29 Déc - 1:32



    FICHE REFUSEE pour cause plagiat.

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MessageSujet: Re: L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June   L'humanité est pourrie jusqu'à l'os et rien ne pourra la sauver." - Jolie June Empty

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