La pensine année d'étude: quatrième année animal: une souris rouge, colorée en l'honneur de la maison de sa propriétaire. Elle se nomme Eglantine. notes:
Sujet: Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo% Jeu 23 Avr - 19:50
« Phoenix Sky Johnson » quatrième année; dix-huit ans.
misery angel
A l’aube, sur une musique nostalgique de Henri Mancini, une femme émerge d’un taxi new-yorkais. Son fourreau noir, ses lunettes de soleil laissent deviner une fête de plus, une fête de trop.
« Tu sais, Phoenix, je l'ai toujours connu comme ça, tu sais bien, excentrique. Dès notre première rencontre, elle m'a confié qu'elle rêvait d'être Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé. Extravagante, un brin calculatrice, mais aussi éternellement insatisfaite. Étoile filante. C'est comme ça qu'elle rêve de vivre, et elle me l'a répété quelques centaines de fois, depuis. »
L . o . a . d . i . n . g •• 1oo %
Spoiler:
i : hors jeu.
pseudo; secret âge; 17 ans. avatar utilisé; Kirsten Dunst.
comment avez-vous découvert le forum ? par hasard. comment le trouvez-vous ? superbe.
Dernière édition par Phoenix S. Johnson le Jeu 23 Avr - 19:57, édité 2 fois
La pensine année d'étude: quatrième année animal: une souris rouge, colorée en l'honneur de la maison de sa propriétaire. Elle se nomme Eglantine. notes:
Sujet: Re: Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo% Jeu 23 Avr - 19:55
En un mot, tourmente. Bien sûr, un mot ne suffira jamais pour décrire Phoenix, mais nous sommes là pour parler d'elle, n'est-ce pas, alors allons-y. Je l'apprécie, mais croyez-moi, elle est difficile à suivre, et parfois, il m'arrive même de me demander ce qu'elle fait à Poudlard. Elle aurait mieux sa place dans une grande ville américaine, à vivre comme ont vécu ses moldus de parents, lorsqu'ils étaient jeunes, c'est à dire, en fraiche étudiante en art dramatique faisant la bringue tous les soirs. Reine des dancings ? Ah ça, ça lui aurait plu, mais c'est une sorcière, et ce monde là n'est pas le sien, alors, oublions.
Son univers, c'est brandir un bout de bois ensorcelé devant elle et se délecter de voir qu'un ou deux mots suffisent à créer des charmes et sortilèges, mais pour être tout à fait honnête, c'est lorsqu'elle observe les moldus à la tâche que notre jeune sorcière jouit le plus de ses dons. Quel plaisir en effet que de savoir qu'une quantité innombrable d'êtres humains se tuent au travail alors qu'il vous suffirait d'une formule magique et d'un geste de la main pour venir à bout de toutes ces besognes. Cependant, n'allez pas croire qu'être doté de dons magiques vous libère de toutes les contraintes : comme tout individu cultivé, un sorcier se doit de suivre des études, et Phoenix n'échappe pas à la règle, bien que le travail acharné ne soit pas son point fort, ni même son passe-temps favori. Ce n'est pas une mauvaise élève, mais elle est partisane de l'effort minimum et s'applique à ne jamais faire plus que le nécessaire, du moins en ce qui concerne la théorie. Lorsqu'il s'agit de disciplines où il faut révéler ses talents et sa force, Phoenix est la première à se mettre à l'ouvrage, aspirant ainsi à impressionner, autant le corps enseignant que ses camarades. Il faut bien avouer que c'est plus excitant de transformer une plume en crapaud qu'écouter les prédictions douteuses d'une bonne femme qui, soit dit en passant, pourrait tout à fait avoir sa place dans un cirque moldu. Non ?
Phoenix ne parle jamais de son passé, de sa vie avant Poudlard, de ses amis hors de l'école – et entre nous, je doute qu'elle en ait beaucoup, de son enfance, ni même de sa famille. En réalité, je me demande s'il existe une seule personne connaissant un tant soit peu la vie de cette jeune fille. Certes tout le monde la fréquente plus ou moins, mais la vérité est frappante : elle ne se confie pas, et préfère laisser les autres le faire à sa place. Parce qu'elle n'est pas originaire de Grande Bretagne et parce qu'elle a vécu les premières années de sa vie aux États-Unis, ils lui imaginent tous un passé mirifique, alors que sa venue à Poudlard n'est assurément que le fruit d'un comportement capricieux et d'un désir de ses parents de se débarrasser d'elle. Naturellement, les commérages pleuvent. J'ai su, un jour, et par un heureux hasard, que les Johnson n'avaient jamais vraiment accepté la différence de leur fille et l'avaient ainsi éloignée le plus loin possible, par prudence et par crainte, probablement. Il était hors de question qu'elle finisse dans une école de basse renommée, et lorsqu'ils découvrirent Poudlard, ce fut comme une lumière dans la nuit, la révélation de leur vie, et très certainement la meilleure idée qu'ils aient jamais eu pour leur fille. Dans ce collège, omis le fait qu'elle y apprenne à maitriser ses dons et qu'elle disparaisse de leur vie dix mois sur douze, ses parents espéraient surtout que l'enseignement et l'exigence de l'école auraient un effet sur le caractère original et espiègle de Phoenix. Peine perdue. Évidemment, elle s'est toujours tenue à carreaux, ou du moins, elle a toujours eu le bon goût de faire les choses discrètement, et sans jamais se faire prendre; mais loin d'apaiser sa personnalité marginale, l'école et ses habitants l'ont rendue d'autant plus singulière. Elle sait parfaitement ce que les gens pensent d'elle, mais je crois justement qu'elle entretient les ouï-dits qui circulent à son sujet. Phoenix est dérangée, déséquilibrée, incroyable, irresponsable, insouciante, excessive, fascinante, et alors ?
Ne vous ai-je pas dit que je ne comprenais pas bien cette fille ? Les fables de son immuable indécision sont nombreux, mais pour ne pas tous les citer, nous dirons simplement qu'elle change d'avis aussi vite qu'on change de chemise et qu'elle est imprévisible. Ainsi, elle qui n'a de cesse de pester contre les filles qui s'agglutinent autour de certains jeunes hommes populaires dans l'école, voilà qu'une fois, je la surprends sur les bancs dans les tribunes du stade de Quidditch, observant les joueurs d'un œil avide. Le plus fort dans cette anecdote, c'est qu'elle n'était pas gênée pour un sou, au contraire, elle a souri et s'est contentée d'ajouter qu'elle venait observer les entrainements tous les jeudis soirs et qu'il n'y avait vraiment pas meilleur endroit, pour reluquer les beaux garçons. Une autre fois encore, je l'ai surprise, à l'orée de la forêt interdite et la tombée de la nuit, l'air indécise. Lorsqu'elle s'est enfin aperçue qu'elle n'était plus seule, et s'est tournée vers moi et a murmuré qu'elle était entre la vie et la mort. En fait, elle avait un pied de chaque côté de la limite de la forêt, et se réjouissait d'être à la fois outlaw et dans les règles. Qui, à part elle, aurait pu savourer un tel moment, je vous le demande ?
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Sujet: Re: Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo% Ven 24 Avr - 12:59
Une nouvelle tête, blonde, fut affublée du mystique Coixpeau, afin qu'il la répartisse. Il était tout juste à sa taille. Après une seconde de silence, la demoiselle entendit quelques paroles faibles se propager au milieu de ses propres pensées : Mais où vais-je bien pouvoir te mettre ? Tu as de nombreuses qualités, et autant de défauts, pour te faire prétendre à trois des maisons que nous avons. Mais je pense que ton cullot, s'apparentant à bien des points à du courage te fera valloir :
Gryffondor
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Sujet: Re: Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo% Ven 24 Avr - 18:24
Merci
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Sujet: Re: Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo%
Phoenix •• Louder than they allow, say aha, aha ! 1oo%
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