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Jeana Solange Llywett

« Dis-moi que ce n'était qu'un cauchemar. »

Prélude.

nom :

« Non, elle ne provient pas d'une illustre famille qui a marqué les générations anciennes du monde de la sorcellerie. Son nom n'est pas placardé aux quatre coins du globe terrestre, ce nom si banal qu'elle porte est le Llywett. Enfin, banal à son goût, certaines personnes disent que ce nom semble très compliqué, mais elle ne trouve pas. Pourtant, même si cette famille ne semble pas jouir d'une immense popularité, il est remarquable de noter que la majorité des personnes les connaissant, jugent tous leurs enfants de fous furieux sans motivation précise pour vivre. »

prénoms :

« Il lui arrive régulièrement de se demander comment sa mère avait pu lui trouver des prénoms aussi pommés. Sauf que l'utilité est d'être nommée afin de ne pas se faire surnommer par des idioties telles que Miss Bidule, peut-être. Jeana, son prénom d'office, n'avait pas immédiatement traverser l'esprit tordu de sa mère. On avait réfléchi à quelque chose dans le genre Alice, Sonatine ou Eleanor, des choses comme ça. Puis le destin en a tourné tout autrement pour se focaliser sur un Jeana. Prénom rare pour une adolescente de cette génération, mais il faut bien faire avec. A moins que ça pouvait la ressortir du lot. Encore pire, son deuxième prénom s'est avéré être Solange, un "truc" qui selon la jeune femme, sonne bien trop chrétien et sage pour lui convenir. Revenons-en au troisième... celui qu'elle préfère mais que bizarrement, personne ne veut mentionner pour l'agacer : Cynthia. Même pas dans ses papiers, genre. Le défaut qui fait qu'elle s'exaspère de ne pas l'avoir eu comme prénom officiel. Comme quoi la vie peut être dure et pas à nos souhaits... »

surnoms :

« Une multitude de surnoms est attribué à Jeana, mais pas bien souvent. D'une, elle n'apprécie cela que très moyennement et est le type de demoiselle très difficile pour s'accepter de bons surnoms, ou plutôt, c'est elle qui en juge de la qualité. On l'a surnommé Jane, ce qui a fini par la vexer au plus au point quand on lui a rappelé qu'une certaine grande-tante d'une certaine personne portait ce prénom, depuis, personne n'a encore eu l'idée d'étaler encore cela. Désormais, son entourage n'essaye de ne plus la surnommer, préférant s'en tenir au simple Jeana. »

ascendance :

« La jeune Jeana provient d'une famille qui peut se définir comme diverse au niveau de l'ascendance. Effectivement, les Moldus et les sangs purs se sont mélangés d'une façon excessive chez les Llywett, donc on peut rapidement supposer qu'elle est de sang mêlée, techniquement si on remonte à plusieurs bonds en arrière, car même si ses deux parents sont sorciers, il se pourrait probablement que le reste ne le soit pas totalement. De toute façon, Jeana ne se soucie pas grandement de ces questions débiles qui courent sur les purs et les impurs, ce ne sont pas ses affaires et elle n'a pas le temps de jouer avec ce genre de sottise, qu'elle juge stupide. »

nationalité :

« Vivant à Londres, il est évident que les Llywett et Jeana elle-même sont des londoniens et en plus de ça, donc : des anglais. En gros, elle est de nationalité anglaise. »

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Chapitre Premier.

maison pressentie :

« Véritablement complexe, Jeana ne peut que se porter sur deux choix si elle l'aurait pu. De nature souriante, elle n'en est pas moins étrange et intrigante sur les bords, si des gens disent la connaître sur le bout des doigts, eh bien : grave erreur, ce n'est qu'un clan très fermé de personnes qui la connaissent réellement, qui savent à peu près tout de ses facettes. Facilement, elle pourrait finir chez les Gryffondor comme autant être chez les Serpentard, coïncidence qualifiée de mystérieuse. Si elle semble dotée d'un grand courage, d'une certaine impulsivité et d'une force morale résistante, Jeana possède son propre côté obscur qui se décèle plus ou moins facilement. Contre toute attente, elle arrive toujours à obtenir ce qu'elle vaut, par tout les moyens imaginables et inimaginables. Sa trop grande ruse peut la pousser à commettre des actes pratiquement irréparables ou à moins qu'ils passent inaperçus, cela peut bien dépendre. Malgré les apparences, Jeana adore le fait de se sentir cultivée, c'est pour cela qu'elle est dotée d'une intelligence et d'une vivacité d'esprit et physique remarquable, sa soif de savoir peut être par moment avoir une tendance à être envahissante, sa mère lui rappelle que cela serait une chose mauvaise si elle continue. Concernant les mauvais choix, eh bien, Serdaigle ne pourrait sûrement pas être si mal, mis à part qu'elle n'est certainement pas très studieuse, et ne semble n'avoir aucune moralité des lois et du reste pour être dotée d'une sagesse à toute épreuve. Pour Poufsouffle, étrange chose, il paraîtrait qu'aucune personne présente dans sa famille n'aurait été réparti dans cette maison, donc il serait étonnant qu'elle y mette les pieds, surtout qu'elle n'a pas vraiment les sens de la justice, ou cela serait rare. »

année d'étude :

« Vous voyez ? Cette demoiselle a être aussi bien entourée pour être brusquement en train de vagabonder dans les couloirs de l'établissement sans cesse ? Ou encore de se retrouver dans des endroits insoupçonnés, une cigarette à la main ? C'est tout simplement Jeana Llywett. Son quotidien depuis sept années à Poudlard, sept années qu'on la voit. Plus si besoin... »

baguette magique :

« Ah. Voilà un objet bien précieux dont Jeana a toujours interdit aux autres de toucher, voir effleurer. Pour elle, cette baguette magique est unique et lui appartient, dans tout les cas. C'est elle l'unique maîtresse de cet objet précieux. Sa baguette semble être taillée dans du bois d'if, mesurant précisément trente centimètres et contenant un crin de Sombral, ce qui devient démesurément rare sur ce bas monde, une baguette magique contenant un crin de Sombral. Elle est très utilise pour la défense contre les forces du mal. »

animal :

« Depuis ses six ans, elle possède cet animal. Ce chat au pelage d'un noir d'encre et aux yeux d'un vert éblouissant, prénommé misérablement Darky... Ironie du sort. »

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Chapitre Deuxième.

épouvantard :

« Elle s'est déjà auparavant retrouvée face à un Epouvantard se retrouvant dans une armoire vide de son grenier, mais ne l'a jamais confié à personne. Personne, donc, n'est au courant de la forme que prend cet épouvantard, vu qu'elle ne le montre guère et le dit encore moins : il prend la forme de sa mère en train de dépérir. Mais ça, pour sa fierté, elle ne risque pas de le révéler de sitôt. »

miroir du rised :

« Ce qui la rendrait certainement heureuse, ou son rêve ? Ce qui pourrait la rendre légère ? Bah, bonne question. Elle ne s'est jamais retrouvée devoir ce miroir, et cela ne risque pas d'arriver... En fait, il pourrait bien être réel que Jeana fuisse ce qui la rend heureuse, au pire, elle craint de l'être définitivement, alors ça, pas question d'en faire face. On suppose qu'elle y verrait bien son grand frère revenir au domicile... »

patronus :

« Son patronus prend la forme de ce qui semble être une panthère noire, apparemment, si on essaie d'être réaliste en regardant attentivement. »

phobie :

« Derrière ces apparences d'insouciances et d'immoralités, règne qu'une seule et unique gigantesque phobie chez Jeana Llywett : celle de perdre ses amis les plus proches et sa famille. Quelle phobie généreuse, n'est-ce pas ? »

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Chapitre Troisième.

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