Lucius E. Burton {Emy}

Invité

«

Lucius Emmett Burton ; Le contrasté.

»

PARCE QUE JE CONNAIS LE PARADIS
ET QUE JE SAIS QU'IL EST NOIR
PARCE QUE JE CONNAIS LES ENFERS
ET QUE JE SAIS COMME ILS SONT BLANCS.

« J'ai tout imaginé de l'enfer aux cieux

Mais rien ne valait tout ce que je pouvais vous donner. »

(c) FICHE DE VALOU; IDEE ORIGINALE.
TOUTE REPRODUCTION INTERDITE.

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Invité

`Prélude.

nom ;

ce qu'on nomme une rose embaumerait tout autant sous un autre nom

Burton

prénoms ;

relief

Lucius

Emmett

surnoms ;

Lux

Lus

Emy

ascendance ;

Veelas et Vélanes

nationalité ;

Anlais

« Je suis un oiseau qui est tombé de haut. »
(C) Jacques a dit

Invité

`Chapitre premier.

maison pressentie ;

« Je ne pense pas que cette question ait son importance. Elle en avait sans doute autrefois mais maintenant qu'il n'y a plus de professeurs, plus de points, est-ce que ça a seulement un sens ? Que j'appartienne à l'un des étendards colorés des quatre différentes maisons ne veut en aucun cas dire que je ne possède pas l'une ou l'autre caractéristique propre à une autre des maisons. Alors dire quelle maison est la mienne : ça vaut ce que ça vaut, à savoir trop de préjugés. Par exemple, je n'ai certainement pas le calme stoïque des Aigles, mais plutôt l'impétuosité, occasionnelle dans mon cas, des Lions. Cela ne m'empêche toute fois pas d'avoir envie d'apprendre, sans que cela ne me cloître dans une Bibliothèque. Et même si la théorie n'est pas ce que je préfère, je suis un curieux, comme un Blaireau. Et pourtant, du Lion, je n'ai pas l'indiscible courage effarouché, alors que je possède plutôt l'égoïsme prêté aux Serpents, sans en posséder le machiavélisme, mais en en possédant cependant la secrète ambition. Et tout cela ne m'empêche pas d'être un ami loyal. Alors quoi ? Tirez-en les conclusions qui s'imposent. »
année d'étude ;

dixième année

baguette magique ;

magique

animal ;

« Je n'ai pas d'animal, bien que je pense aimer les animaux, dans l'ensemble. Je n'en vois pas l'utilité immédiate, simplement. Peut-être que dans dix ans, quand je serai en ménage et que ma vie commencera à devenir répétitive je prendrai un chien et je l'appèlerai Médor afin de rendre encore plus vivaces les stéréotypes d'une vie banale au quotidien, qui dormira sur le canapé du salon et sur lequel je m'énerverai car il détruit mes affaires mais que je ne pourrai pas m'empêcher d'aimer. Mais en attendant, je suis un célibataire de l'animal domestique. Qu'est-ce que je ferais d'une bête à poils ou à plumes à Poudlard ? Avec les cours, je n'avais pas le temps de m'en occuper et ... à la réflexion, maintenant encore moins. »

« J'ai dans ma gorge une boule, comme une pierre qui roule. »
(C) Jacques a dit

Invité

`Chapitre deuxième.

épouventard ;

« Je ne sais pas vraiment ce que pourrait être mon épouventard. Sans doute une peur si horrible qu'elle dépasserait même mes plus odieuses phobies. Je préfère ne pas y penser car j'ai en horreur le souvenir de ce cours où le professeur nous mit face à cette créature. Pour moi, ce fut un choc douloureux. Je venais alors d'avoir treize ans, la première fois, et rencontrai mon malheur : la marmite sauteuse du premier conte de Beedle le Barde. Une marmite qui, à elle seule, représentait tous les maux humains et qui, pour moi, symbolisait mon impuissance face au malheur tout entier. C'était une angoisse redoutable qui, lorsque je fis une seconde fois face à un épouventard, avait changé. Je venais de fêter mon dix-huitième anniversaire et je me voyais, vieux et seul, sans jamais avoir trouvé l'amour prêté aux Veelas. Aujourd'hui, c'est une peur si forte que ça ne peut même pas révéler de la phobie, ça me suit sans arrêt et a même façonné une partie de mon aractère adulte. »
miroir du risèd ;

« De ce fait, on pourrait penser que mon miroir du risèd serait moi avec une superbe jeune femme - celle de ma vie. Quel égocentrisme. Mais en fait, je n'en sais rien. Je n'ai jamais vu ce miroir mais si un jour je devais tomber dessus, je vous le dirai peut-être. Bien qu'un rêve qui puisse symboliser le bonheur me semble être une chose qu'on doive garder plus personnelle que publique. Chacun ses secrets, ceux qui nous poussent à nous lever les matin. »
patronus ;

« Un long filet argenté se transforme en un animal splendide. Ca me fait toujours un drôle d'effet. Je dis ça mais : ça me fait toujours un drôle d'effet quand je le vois chez les autres. Mon patronus n'et pas corporel et ça me frustre énormément. Je n'y parviens pas. Je pense que s'il n'a pas de forme, c'est tout simplement parce qu'il n'y a aucun animal pour me guider, aucun totem, aucun symbole et qu'il manque cette nécessité pour que mon patronus prenne vie. J'ai l'intime conviction que ça fait partie du lot des choses qui trouveront une réponse quand ma nature sera complète et que j'aimerai enfin. Mais je commence à désespérer que ça n'arrive un jour. »
phobie ;

« J'ai une peur irrationnelle et irrépressible de paraître stupide. Ce n'est pas que je sois connu comm un grand esprit ou une personne très influente. Mais j'accorde à min image une grande importance. Tout le monde dit que seul ce qu'on est dans le fond compte. Mais dans le fond, on est tous les mêmes et on n'en pense pas un mot : notre première idée se fait sur l'impression de l'autre reçue. Et j'ai du mal avec cette partie, précisément. J'aimerais qu'on m'aime, mais comment faire ? Je n'amerais pas me perdre pour les autres, mais seul, je ne suis de toute façon rien. Je ne sais pas si ceux qui ne la possèdent pas peuvent comprendre cette phobie, mais elle existe bel et bien et je la vis au quotidien. Peut-être une raison à ma névrosité ? Allons bon. »

« La vie c'est tout gris. »
(C) Jacques a dit

Invité

`Chapitre troisième.

Introduction

Poser les bases du problème

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